file du coeur = celle du poutou - Filae.com |
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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bonjour à toutes et tous
magnifique rose Odette
pas vu Claire hier soir rien de grave j'espère!!
toujours dans le Gers voici le Château de Caumont
Le château de Caumont est un monument de la Renaissance française situé sur la commune de Cazaux-Savès, dans le département du Gers, en France.
Cet édifice est classé au titre des monuments historiques.
Le château de Caumont est construit sur les vestiges d'un château fort ayant appartenu à Gaston Phébus.
La seigneurie entre dans la famille de Nogaret par le mariage, le 21 avril 1521, de Marguerite de l'Isle, dame de Cazaux et de Caumont, avec Pierre de Nogaret, seigneur de La Valette. C'est ce dernier qui fait édifier le château actuel de 1525 à 1535. Ce château a vu naître Jean-Louis de Nogaret, duc d'Epernon. Cour d'honneur, pièces meublées, chapelle romantique ou encore chambre du roi où séjourna Henri III de Navarre, sont autan d'attraits à découvrir au fil de la visite. Autour du château s'étend un parc boisé.
Le parc de Caumont abrite plusieurs arbres remarquables, en particulier un chêne âgé d'environ 450 ans (à droite, en montant l'allée d'accès).
Dans la première moitié du XIXe siècle, la partie proche du château bénéficie d'importants aménagements. Sur environ dix hectares, la marquise de Castelbajac, née Sophie de La Rochefoucauld, fait alors planter quantité d'essences nouvelles pour l'époque, notamment des Cedrus libani, micocouliers, arbres de Judée, variétés de Sophora et palmiers. Un ingénieux système d'irrigation souterrain, avec citernes, norias et canalisations, est construit (détruit dans les années 1960). Une glacière de briques roses, édifiée vers 1850, permet de conserver la glace pour les habitants du château : ce petit bâtiment, restauré en 1995, fait aujourd'hui partie du circuit de visite.
Le château et le bâtiment des communs renfermant notamment les écuries (cadastrés A 178 et A 179) font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 30 mai 1984.
Le parc du château, dans sa partie délimitée sur le plan annexé à l'arrêté, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 17 avril 1947.
Ce parc s'intègre à la manifestation. Rendez-vous aux jardins organisée chaque année depuis 2003 par le ministère de la Culture.
bonne journée les poutous
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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RE....
LE WAT MAHATHAT
GERARD
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir à tous....
Gégé :bisou: .....ici aussi, il fait chaud.... la clim la nuit....sinon 29° pour dormir...
Claire :bisou: ....ta journée sait bien passée... pas eu trop chaud....
Bonne nuit....
:bisou:
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Odette, Vos couleurs de fleurs sont toujours à couper le souffle.
Béa, Pas d'inquiétude, je devais apprendre un texte et me coucher plus tôt que d'habitude. Merci pour vos développements sur les beaux châteaux peu connus.
Chantal, L'aquarelle est très jolie et très fine.
Tina, Quel mignon petit loup. Ici le température est nettement retombée et il pleut à nouveau.
Annie, Tu me rassures car il faut te reposer aussi.
Anne-Marie, Vous n'aurez pas trop de chaleur pour le mariage.
Gégé, Superbes éléphants en verdure.
Mélodie, Des beaux chats stylisés.
:bisou: Claire
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Inscrit le: 08/10/2007 Messages: 6 928
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la fleur de l'églantier Bonjour à toutes et à tous Ce matin le ciel est gris,il a plu un petit peu. Bonne journée à tous :bisou: :bisou: odette
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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bonjour les poutous
belle fleur d'églantier Odette :bisou:
Belle enseigne et originale Chantal :bisou:
Claire, Tina et tous les poutous à venir :bisou:
il fait moins chaud depuis 2 jours mais le temps est lourd
j'étais dans les Hautes-Pyrénées hier après-midi il faisait 27°
et chez moi 30° quand on est partis
aujourd'hui le Château de Plieux
Le château de Plieux, bâti au XIVe siècle à Plieux (Gers) est un château de « type gascon ».
C’est un des derniers châteaux gascons : bâti en 1340 sur l’emplacement d’un castrum ou d’une motte castrale, par la famille de Faudoas. Il se compose d’un corps central rectangulaire et de deux tours carrées situées sur deux angles opposés, dont les noms font référence aux villages avec lesquels elles étaient sans doute en contact visuel : au nord-ouest, la tour Sainte-Mère, haute de 26 mètres ; au sud-est, la tour Saint-Clar, arasée au niveau du corps principal à une époque inconnue. La tour Sainte-Mère servait probablement de porte d’entrée au village, par deux portes dont l’une, à l’extérieur, fut ensuite murée et l’autre très fortement remaniée.
Le château, traditionnellement pauvre en ouvertures, fut remanié à la fin du Moyen Âge ou à la Renaissance : on y perça de nombreuses baies qui ouvraient la vue sur la campagne environnante jusqu’aux Pyrénées, mais au détriment de la solidité. on leur doit peut-être la disparition du chemin de ronde qui régnait sur le sommet des murs, avec des consoles supportant des mâchicoulis. Certaines baies durent être rebouchées.
La présence des mâchicoulis sur trois côtés du bâtiment témoigne de la construction tardive et de l’ultime évolution du château gascon, qui jusque-là, du moins d’après les témoins qui subsistent, n’étaient pas munis de tels perfectionnements.
Propriété successive des familles de Faudoas, des de Galard de L'Isle-Bouzon, des Poubersac, de Rochechouart, le château servit rarement de résidence permanente. Sa fonction était plus militaire, encore qu’il n’eut pas à subir de grave avanie.
L’écrivain Renaud Camus, qui l’habite, en a fait un centre important d’expositions d’art contemporain et de rencontres culturelles.
Le château a été classé Monument historique en 1994.
aussi un lavoir en Haute-Garonne de SAINT-MEDARD
A la sortie du village ,en bas du carrefour des routes de Beauchalot et Castillon. Sympathique petit lavoir en bord des champs.
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Il a fait chaud...mais le vent est venu.. par rafales...la mer avec des hautes vagues... idéal pour faire du surf...debout ou couché sur une planche....
Béa :bisou: ..j'adore tes châteaux...
Coucou à tous....:bisou:
Mélo :bisou: ...la forme...
Claire :bisou: ..ça va....la pluie...
bonne nuit..
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
il est très tard et j'ai sommeil.
pour la fleur d'églantier, l'enseigne originale et le reportage sur le château, le tableau de Mélo.
:bisou: à Odette, Chantal, Tina, Béa,Gégé, Méo.
Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 08/10/2007 Messages: 6 928
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Ce bouquet de fleurs est pour TINA Bon Anniversaire TINA Bonjour à toutes et à tous Bon dimanche :bisou: :bisou: odette
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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les poutous
Claire il y a beaucoup de châteaux gascons dans la région Midi-Pyrénées, beaucoup n'ont pas de photos, je mettrai que les commentaires qui sont assez intéressant
Tina je réitère
très joli bouquet Odette
aujourd'hui le Château de Sainte-Mère
Le château de Sainte-Mère est un château de type « gascon », édifié dans la deuxième moitié du XIIIe siècle (probablement vers 1277) dans la commune de Sainte-Mère (Gers), à 10 km au nord de Lectoure.
Le château, bien qu’en ruine (il n’a plus ni couverture ni étages intérieurs) est apparemment assez bien conservé dans sa maçonnerie, ayant subi peu de remaniements postérieurement à sa construction. En venant du nord, sa silhouette se détache au sommet de la butte du village de Sainte-Mère.
Il offre toutes les caractéristiques du château gascon : faible surface au sol, construction quadrangulaire en hauteur, deux tours de plan à peu près carré aux angles (ici ce ne sont pas, comme ailleurs, les angles opposés, mais les deux tours se trouvent alignées sur le mur nord), rez-de-chaussée aveugle. L’accès se faisait par un escalier ou une échelle mobile au premier étage. Le corps central, mesurant 18 m sur 11 m, pour une hauteur actuelle de 15 m, était à trois niveaux, le rez-de-chaussée servant de réserve et éventuellement de logis pour la garnison, les étages supérieurs, d’un seul tenant (sans murs de refend en maçonnerie), étant les étages à usage d’habitation. La tour est, la plus grande, mesure 5,5 m de côté et 26 m de haut. Un escalier à vis maçonné permettait d’en atteindre le sommet. La tour ouest mesure 3 m sur 2 et est haute de 20 m. Il y avait peu d’ouvertures, hormis d’étroites archères cruciformes et quelques meurtrières. La seule modification fut l’ouverture d’une fenêtre à meneaux, au XVe siècle. L’étage résidentiel est équipé d’éviers, placards, cheminées.
Le château, bâti en appareil soigné, n’a pas de fonctions défensives à proprement parler, pas de défenses extérieures, ni fossé, ni glacis, ni enceinte, pas de bretèches. Les deux tours au nu de la façade n’assurent pas un rôle de flanquement. D’ailleurs la taille exiguë du château ne lui permettait pas de loger une garnison suffisante pour soutenir un siège ni mener des actions militaires. Le couronnement disparu ne permet pas de savoir s’il était crénelé ou muni de mâchicoulis. La présence de boulins et de corbeaux peut laisser penser à la présence de hourds en bois et peut-être d’un chemin de ronde. Toutefois, le village lui-même devait posséder une enceinte constituée d’un simple mur et d’une tour-porche, devenue le clocher de l’église. Une demeure du XVIIIe siècle jouxte le château.
Le château fut construit vers 1277 par l’évêque de Lectoure Géraud de Monlezun (1268-vers 1295). on doit à cet évêque la majeure partie de la cathédrale de Lectoure et en particulier la couverture de la nef en croisées d’ogives (détruite au cours des guerres de religion).
on a longtemps considéré que ce « château gascon » faisait partie d’une ligne de défense entre les possessions françaises et anglaises, selon la thèse défendue par l’érudit Philippe Lauzun au XIXe siècle. Cette hypothèse qu’on trouve toujours fréquemment mise en avant1, mais qu’aucun fait de guerre connu ne permet d’étayer, a été combattue dans les années 1970 par l’historien Jacques Gardelles et n’est plus considérée aujourd’hui comme valable. Tout au plus pouvait-il servir de poste de guet, en contact visuel avec son voisin le château de Rouillac à Gimbrède (la légende locale prétendait qu’un souterrain reliait les deux châteaux).
Le château a uniquement servi de résidence aux évêques de Lectoure, depuis le constructeur, Géraud de Monlezun, jusqu’au dernier, Emmanuel-Louis de Cugnac, à la Révolution.
Selon Gilles Séraphin, le château aurait été incendié vers 1600.
Vendu comme bien national à la Révolution, il fut dépouillé de son intérieur mais la construction en elle-même subsista sans trop de dégâts, hormis des brèches pratiquées dans les murs pour en récupérer des pierres. Le site fut classé en 19431, et le château fut classé Monument historique en 1977.
et le lavoir de SAINT-PE D'ARDET
1ère et 3ème photo trop grandes clickez dessus pour mieux voir
Joli lavoir, bien rénové,eau abondante et claire arrivant par une belle petite rigole. Se trouve en bas de la petite rue, qui est en face de la place du village.
les poutous
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Inscrit le: 08/12/2006 Messages: 10 338
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je remets ma salle avant car photo pas passée!!! On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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je ne comprenais rien!!
le parquet est clair, la tapisserie aussi, ainsi que le tapis, la plante a
retrouvé sa place, félicitations
poutous
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir
Merci beaucoup d'avoir pensé à mon anniversaire... super sympa de votre part... :bisou: :bisou:
Bonne nuit...
:bisou:
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Avec une heure de retard sur la date, je viens te souhaiter un bon anniversaire, Tina. Pour l'instant, il y a de quoi en perdre la tête car j'ai beaucoup d'anniversaires à souhaiter dont deux encore demain.
Odette vous avez offert un magnifique bouquet
Chantal et Béa ont amené les bulles de champagne.
Annie, tu as bien travaillé.
Béa, merci pour les châteaux jolis même en ruines.
Gégé,comment cela va-t-il avec les petits?
Tina :bisou: Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
CLAIRE :bisou: CELA COMMENCE A DEVENIR DUR AVEC LES PETITS
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 08/10/2007 Messages: 6 928
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Bonjour à toutes et à tous Bonne journée à tous :bisou: :bisou: odette
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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Odette c'est toujours un plaisir d'ouvrir ce fil tous les jours accueillis par de jolies fleurs
pour finir avec les châteaux du Gers en état, beaucoup d'autres sont en ruines ou n'ont pas fait l'objet de recherches minutieuses sur leur passé
aujourd'hui ce n'est pas un château mais une église de Termes-d'Armagnac
Termes-d'Armagnac (Tèrmis d'Armanhac en gascon) est une commune française, située dans le département du Gers et la région Midi-Pyrénées.
Commune située en Armagnac sur le vignoble des Côtes-de-Saint-Mont et l'Izaute y prend sa source.
Termes vient du latin terminis : la limite, car la forteresse est située à la frontière du comté d'Armagnac et du Béarn. Dominant la confluence de l'Adour et de l'Arros, elle revêtait une importance stratégique considérable surveillant le domaine de Gaston Phoebus, comte de Foix-Béarn.
Du château de Thibaut de Termes d'Armagnac, compagnon de Jeanne d'Arc, il ne reste que le donjon. L'armée qui avait été mise à la disposition de Jeanne de Lorraine comptait beaucoup de Gascons. En foule, ils étaient accourus à l'appel de la Pucelle. Toute la fine fleur de la noblesse de la Gascogne l'a rejointe, à tel point que les Anglais, par dérision, parlèrent de Jeanne l'Armagnacaise.
La rénovation de la Tour de Termes-d'Armagnac a été opérée par André Boingnères, maire de son village natal pendant plus de 20 ans. Cette rénovation permit l'ouverture de la Tour au public et l'organisation d'événements culturels régionaux majeurs, il laissa une empreinte indélébile à Termes d'Armagnac.
poutous à toutes et tous
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir
Tableau de ????....
Un temps magnifique....une mer fraiche...
Tout le monde va bien....:bisou:
Claire :bisou: ....ça va....
Bonne nuit...
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Odette, Comme dit Béa, c'est très agréable , en effet, d'ouvir la file avec vos fleurs toujours si joliment colorées.
Tina, Tout baigne alors...
Chantal, Vous allez pouvoir préparer vos valises. Ce sera très gai de revoir Gégé et Lydie. J'aimerais faire un petit séjour sur une des péniches du canal de Bourgogne.
Béa, Je me délecte avec les anciens châteaux et leur histoire.
Gégé, Dur, dur d'être un Papy
:bisou: Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS. ENFIN DE LA PLUIE APRES 3 MOIS SANS
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 08/10/2007 Messages: 6 928
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Bonjour à toutes et à tous Nous avons eu une petite averse cette nuit mais pas assez pour faire du bien. Bonne journée :bisou: :bisou: odette
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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les poutous
au petit matin nous avons eu de la pluie et un grondement lointain qui n'a pas duré
des problèmes avec l'hébergeur d'images, donc pas de visite de châteaux aujourd'hui
poutous à toutes et tous
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonjour à tous..
Une vue du ciel...Nice...
NICE....la Promenade des Anglais.....
En direction de Villufranche-sur-Mer....
Après la pluie...le soleil...
Bonne fin d'après-midi....
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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RE...
GERARD
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Inscrit le: 16/02/2008 Messages: 1 119
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Coucou les poutous..... TINA , avec bcp de retard, JOYEUX ANNIVERSAIRE!!!!!! ANNIE le résultat de tes travaux a l'air très réussi!!!!! J'ai eu chaud!!!!35°!!!!! des orages étaient annoncés pour la fin de l'AM de Samedi...mon fils n'arrêtait pas de consulter la météo!!! Finalement l'orage a éclaté ds la nuit du vendredi avec pluie!!!!ça a rafraîchi un peu et ensuite chaleur et vent++++ Tout s'est bien passé bcp de monde mais j'ai pu profiter de cette partie de famille car ns logions ds me même hôtel, on se voyait aux petits dej... OUF!!!!!terminé mes "obligations" pour cette année du moins!!!!!! Je suis rentrée Dimanche soir crevée!!!!!et commence seulement à me remettre!!!! Bonne soirée à tous et gros poutous AMarie
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir
Un coin de Nice....
Merci...Anne-Marie :bisou: d'y avoir pensé...
Claire :bisou: ...il y a moins de monde...la rentrée des classes arrive...en Belgique a-t-elle déjà eu lieu....
Bonne nuit....
:bisou:
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
J'espère que la pluie a rafraîchi un peu celles et ceux qui ont trop chaud...
Odette, Quel plaisir de voir vos fleurs en démarrant les messages.
Chantal, Merci pour la carte postale ancienne. Je me doute bien que la recontre sera symapthique bientôt.
Anne-Marie, Nous récupérons moins vite de nos fatigues en vieillissant. Vous avez beaucoup bougé ces temps derniers, votre fatigue est normale.
Tina, La rentrée en Belgique c'est le 1er septembre pour l'école maternelle et primaire( 3 ans à 12 ans) et plus tard pour le secondaire (Lycées et Collèges de 12 ans à 18 ans). Comme le 1er septembre tombe un samedi, la rentrée a lieu lundi 3 septembre. Pour le secondaire , cela doit être le jeudi 6 septembre à mon avis. Bien contente de ne plus penser à la rentrée
Béa, Vos fleurs ont jolies et nous attendrons tes reportages instructifs.
Gégé, Magnifique boudha recouvert d'un drap. Le safran est une couleur sacrée, je pense.
:bisou: à la file Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
OUI CLAIRE :bisou:
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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pleins de chose à faire ce matin
aujourd'hui une ruine du Château de Peyrepertuse
Le château de Peyrepertuse (en occitan Castèl de Pèirapertusa) est un château dit « cathare » situé dans le département de l'Aude en région Languedoc-Roussillon.
Il est le centre du micro-pays et de l'ancienne seigneurie du Peyrepertusès (en occitan Pèirapertusés) qui veut dire Pierre percée.
Le château est situé sur la commune de Duilhac-sous-Peyrepertuse département de l'Aude en région Languedoc-Roussillon dans les Corbières. Il se trouve sur une crête calcaire à près de 800m d'altitude, en haut d'une colline qui sépare Duilhac du village de Rouffiac-des-Corbières, dominant garrigue et vignes. Position stratégique qui permet à la fois de voir loin dans les différentes vallées qui l'entourent, de contrôler les cols ou de communiquer des signaux au château de Quéribus un peu plus au sud.
La vue du château depuis Duilhac (au sud) est impressionnante grâce à la falaise de 30 à 40 mètres sur laquelle le château est posé. L'entrée principale se trouve du côté nord, mais à l'époque des Cathares un passage secret permettait après un chemin étroit derrière un gros éperon rocheux de rentrer dans le château par une échelle amovible. Aujourd'hui la poterne du passage secret est fermée mais le chemin est toujours là (le passage derrière l'éperon est exceptionnel) et on peut terminer l'ascension par une voie d'escalade.
Le château fait partie des "Cinq fils de Carcassonne" avec les châteaux de Quéribus, Puilaurens, Termes et Aguilar, tous situés en haut de pitons rocheux "imprenables". Il est surnommé la Carcassonne céleste car c'est le plus grand des cinq châteaux et qu'il était aussi vaste que Carcassonne5
Le site a été occupé à l'époque romaine dès le début du premier siècle avant Jésus-Christ, comme l'ont montré des fouilles récentes. En 806 apparaissent les premières mentions du château dans l'Histoire. Il est alors catalan et s'appelle Perapertusès. Il appartient au comte de Besalú, une petite ville située en Catalogne entre Figueres et Olot, dans un texte de 1020. La première mention du château date de 1070
Il passe ensuite dans le comté de Barcelone en 1111, puis dans le vicomté de Narbonne. À partir 1180, le comte de Barcelone, Alphonse II devenu roi d'Aragon s'émancipe de sa vassalité au roi de France. La zone devient de facto une frontière.
À l'époque de la croisade contre les Albigeois, il est le fief de Guillaume de Peyrepertuse qui, ne voulant pas faire sa soumission, fut excommunié en 1224. Ce dernier se soumet après l'échec du siège de Carcassonne, et le château devient une possession française en 1240. En 1242, Saint-Louis décide de le renforcer et de lui ajouter une deuxième partie, le donjon "Sant Jòrdi", situé plus en hauteur sur la crête; le donjon Sant-Jordi est alors construit en 1250-51 et on réaménage le Donjon Vieux ainsi que l'église Sainte-Marie qui existait antérieurement. La situation est confuse dans cette région jusqu'à la signature du traité de Corbeil en 1258 laissant libre la Catalogne et le Languedoc. Il fixe aussi la frontière juste au sud du château de Peyrepertuse. Celui-ci, comme ses voisins, les châteaux de Puylaurens et Quéribus, est une des forteresses royales reconstruites à la fin du XIIIe siècle pour défendre la frontière contre le royaume d'Aragon puis l'Espagne jusqu'au XVIIe siècle.
En 1355, le château est remis en état de défense et Henri de Transtamare, prétendant au trône de Castille, défait à Navarette, est autorisé par le roi de France Charles V à s'y réfugier. En 1542, Jean de Graves, seigneur de Sérignan, s'empare du château au nom de la Réforme, mais est pris et exécuté.
Une garnison est maintenue jusqu'à la Révolution française même si la citadelle n'avait plus trop de valeur depuis l'annexion du Roussillon en 1658. Le château est déclassé comme place frontière lors du Traité des Pyrénées en 1659 et la forteresse sera ensuite abandonnée, ayant perdu son intérêt stratégique. Peyrepertuse reste occupé par une faible garnison commandée par un officier subalterne jusqu'à la Révolution française, pendant laquelle il est abandonné. Vendu comme Bien National en 1820, ses ruines subsistent jusqu'à aujourd'hui. La première campagne de consolidation du monument commence en 1950.
Ses ruines accueillent aujourd'hui près de 100 000 visiteurs par an. Elles dominent de 800 m les vignobles de la région et le village de Duilhac (vignoble des Corbières).
on y accède par une route qui s'arrête juste en dessous de la falaise sur un parking, les visiteurs peuvent ensuite utiliser un chemin (environ un quart d'heure) pour faire le tour du château par l'est et rentrer par l'entrée principale côté nord. Même si le château est en ruine, la plupart des murs sont encore debout, certaines pièces sont encore bien conservées (notamment la chapelle fortifiée dans le Bas-Château).
Pour les courageux et les randonneurs, un sentier de grande randonnée part du village de Duilhac (prendre la route du château sur quelques centaines de mètres avant de prendre à droite un petit chemin qui coupe les lacets). Il s'agit d'une variante du sentier cathare.
Par temps d'orage ou de grand vent, la montée est fortement déconseillée et souvent interdite pour protéger les visiteurs de la foudre et des glissades dangereuses dans l'escalier Saint-Louis, qui relie l'ancien château au donjon, déjà fort glissant par beau temps.
La falaise de calcaire est propice à l'escalade et les voies aboutissent toutes ou presque dans l'enceinte, au grand plaisir des grimpeurs qui terminent leur ascension sous le regard des touristes spectateurs.
Le château mesure 300 mètres de long et 60 mètres de large dans sa plus grande largeur. L'entrée se trouve au nord et tout le reste du château est inaccessible de par les falaises qu'il surplombe. Tout le château est entouré de remparts soigneusement accrochés en haut des à-pics. Mais la muraille de la partie nord plus accessible est plus imposante que celle de la partie sud qui est composée de pentes très abruptes. Il est composé de deux esplanades à l'est et à l'ouest. Celle de l'est est bordée d'une courtine de 120 mètres de long jalonnée par deux tours de plan semi-circulaire. Cette enceinte "basse" a conservé son chemin de ronde formé de dalles reposant sur des corbeaux. Le côté sud est défendu par l'à-pic de la falaise. L'angle nord-ouest abrite la porte d'entrée. on peut observer sur cette esplanade le château primitif du comte de Besalù et la chapelle du XIIe siècle6. Une ancienne citerne d'eau est visible près du château primitif.
Le donjon vieux est formé de l'église Sainte-Marie, de style roman, et d'un logis, constitué de deux pièces voûtées superposées. Quatre citernes alimentaient le château.
Sur l'esplanade ouest se dresse le château plus récent perché sur le roc Sant Jòrdi. Il fut construit sur l'ordre du roi Saint-Louis en 1242 pour renforcer la forteresse. Pour y accéder, un escalier dit de Saint-Louis assez vertigineux monte le long de la paroi du roc. Le "donjon de Sant Jòrdi" est un château avec son propre système de défense capable de résister aux assaillants ayant réussi à accéder à la forteresse et possédait sa propre chapelle dans le donjon, la chapelle Sant-Jordi (Saint-Georges) à nef unique.
Le Château de Peyrepertuse, vu depuis la commune de Rouffiac-des-Corbières.
poutous
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Inscrit le: 08/12/2006 Messages: 10 338
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Bonjour, Bea , ce château je l'ai visité plusieurs fois car ma fille a habité pas très loin quand elle habitait à St Paul de Fenouillet j'ai vu aussi plusieurs fois celui de Quéribus je viens de rentrer de l'expo sur Toutankhamon super pour des objets reconstitués!!! en plus en sortant, j'ai vu une vieille connaissance l'ancien Principal du clg où j'ai fait une CES en 2000!!! et il m'a annoncé que son ancienne principale adjointe était nommée sur de mes collèges!! Super car je m'entendais très bien avec elle trop contente!!! ici ciel bien nuageux mais lourd bonne soirée vais aller passer l'aspi car demain am je vais chez le coiffeur poutous la file On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Coucou....Mélo :bisou: ....
Claire :bisou: ...ici la rentrée a déjà eu lieu pour les maternelles/primaires qui ne font que 4j par semaine autrement entre le 4 les 6è... et le 5...mais le 6 sep tous les col/lycées...commenceront leurs cours quand à l'université...tout dépend "choix" ....
Bonne nuit...
à +
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Inscrit le: 08/10/2007 Messages: 6 928
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Des campanules Bonjour à toutes et à tous Bonne journée :bisou: :bisou: odette
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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les poutous
superbe ces campanules
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Inscrit le: 16/02/2008 Messages: 1 119
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Coucou les poutous... ANNIE je comprends ton soulagement, retrouver des visages connus et en + avec qui tu sympathises!!!!! profites bien quand même de ces derniers jours de vacances..... Ce matin je vais aller voir ma toubib car fièvre et mal de gorge.... est-ce la clim du TGV ou de l'hôtel???? Bonne journée à tous et gros poutous AMarie
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
MON MESSAGE DE CE MATIN A DISPARU
JE NE METTRAI PLUS DE PHOTOS
GERARD
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Inscrit le: 08/12/2006 Messages: 10 338
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voici le lycée militaire de AUTUN Saône et Loire. Je voulais mettre historique mais j'ai fait une bêtise. J'ai rétréci mon écran et je ne sais pas comment faire pour remettre plein écran!! Si quelqu'un parmi vous peux me dire je l'en remercie je mettrai donc le commentaire plus tard poutous On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite
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Inscrit le: 08/12/2006 Messages: 10 338
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RE... j'ai réussi à remettre ma page comme il faut!!! Voici le commentaire sur ce lycée si c'est bien passé
Lycée militaire d'Autun Aller à : Navigation, rechercher Lycée militaire d'Autun Le cloîte du lycée militaire d'autun.JPG Localisation Localisation Autun, France Informations Fondation 1971 Type Lycée public Lycée de la Défense Particularités École militaire préparatoire d'Autun Niveau Lycée Site web [1]
Situé dans la commune d'Autun (Saône-et-Loire), le lycée militaire d'Autun, est l'un des six lycées de la Défense (anciens lycées militaires), du ministère de la Défense français. Il se situe dans un cadre historique particulièrement riche : en effet, ont précédé le lycée un séminaire, l'École Militaire Préparatoire de Cavalerie et École militaire préparatoire. Sommaire
1 Historique du lycée 1.1 Le séminaire 1.2 L'hôpital, la réserve et la prison 1.3 La Maison d'éducation et le nouveau séminaire 1.4 L'École Militaire Préparatoire de Cavalerie 1.5 L'École militaire préparatoire d'Autun 1.6 Le collège puis le lycée militaire 2 Architecture du lycée 3 Organisation du lycée 4 Galerie de photos 5 Les élèves 5.1 Anciens élèves célèbres 6 Devise du lycée 7 Décorations du drapeau 8 Sources, bibliographie 9 Notes et références 10 Liens externes
Historique du lycée Le séminaire
Le séminaire, qui correspond aujourd'hui à une partie du lycée, l'ancien cloître, date du XVIIe siècle. C'est à l'origine un grand séminaire, qui est fondé en 1675 par l'évêque d'Autun, monseigneur Gabriel de Roquette. Il est achevé en 1679. Les plans du séminaire sont l'œuvre de l'architecte Daniel Gittard. Les jardins, qui ont profondément été remaniés depuis leur création, sont dessinés par André Le Nôtre. Pour diminuer les frais de construction, l'évêque n'hésite pas à utiliser largement les pierres de l'ancien théâtre romain de la ville. Cette construction est considérée à l'époque par Bussy-Rabutin, comme le plus beau séminaire de France1.
Parmi les religieux qui y furent formés, on compte Blaise Bégon (1737-1795). L'hôpital, la réserve et la prison
La Révolution de 1789 provoque le départ des séminaristes. Le séminaire devient alors un hôpital pour galeux puis un magasin à grains et à fourrage. Les locaux sont pillés et abritèrent entre autres, des prisonniers autrichiens puis espagnols. La Maison d'éducation et le nouveau séminaire
En 1809, la mère Anne Marie Javouhey y installe des classes mixtes afin de pourvoir à l'éducation des enfants issus du milieu pauvre.
Mais c'est en 1813 que le bâtiment, rendu à l'évêque, redevient petit séminaire. Parmi les élèves qui le fréquentent le plus connu est sans conteste Patrice de Mac-Mahon, président de la République de 1873 à 1879. L'École Militaire Préparatoire de Cavalerie
En 1885, à leur tour, les jeunes séminaristes sont chassés des lieux : le gouvernement français décide de créer l'École Militaire Préparatoire de Cavalerie. Ainsi commence l'histoire des Enfants de troupe. Ces garçons, âgés de 13 à 18 ans, le plus souvent fils de militaires (de bas-officiers de cavalerie), sont, à l'origine, essentiellement formés pour être dirigés vers une carrière militaire. Avec le temps et l'évolution de l'institution, ces jeunes fournissent de nombreux cadres au pays. Les premiers élèves font leur entrée le 14 octobre 1886.
Durant la Première Guerre mondiale tous les enfants de troupe partent, dès l'âge de 17 ans, relever leurs aînés sur le front. 154 d'entre eux tombent au champ d'honneur. L'École militaire préparatoire d'Autun Article détaillé : École militaire préparatoire d'Autun.
À partir de 1921, l'École perd son particularisme d'École de cavalerie en élargissant son enseignement militaire. Elle obtient alors son label d'école secondaire. Dès 1924, elle opte définitivement pour l'enseignement secondaire et prépare les élèves à la première partie du baccalauréat. Le but est alors de les préparer aux concours d'admission des écoles de sous-officiers et d'officiers.
Le 16 juin 1940, l'École militaire préparatoire d'Autun doit se replier et quitter la ville d'Autun. C'est alors qu'un détachement d'élèves, arrivés en fin de seconde, inscrit l'une des premières pages de l'histoire de la Résistance. Sous les ordres de l'adjudant-chef Grangeret, surnommé "le Lion", les enfants de troupe s'illustrent à Toulon-sur-Arroux, avant de rejoindre leur École, repliée à proximité de Tulle. Le 26 août, l'école quitte Chameyrat (Corrèze) pour s'installer à Valence (Drôme). Elle devient "École d'Autun" et fonctionne sur ce site jusqu'au 1er septembre 1943, date à laquelle elle déménage vers le camp de Thol (Ain).
À partir du 3 mai 1944 la dissolution de l'École est décidée : les plus jeunes élèves quittent les lieux afin de retrouver leur famille. Les plus anciens vont alors rejoindre les maquis de l'Ain et constituent le camp d'Autun. Les enfants de troupe vont participer aux combats de la Libération, en particulier à Ambérieu-en-Bugey, à la Valbonne, à Neuville-sur-Ain. Au cours de ces combats, le jeune Bernard Gangloff est grièvement blessé et décède le 14 juillet 1944 des suites de ses blessures. En 1985, son nom est donné à l'École militaire préparatoire d'Autun qui retrouve ses murs le 20 décembre 1944.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, l'École retrouve Autun et se développe en ouvrant de nouvelles classes de terminales et, en 1951, en créant la "corniche Mac-Mahon" assurant la préparation du concours à l'ESM de St-Cyr Coëtquidan (avec l'option histoire-géographie). Cette corniche est supprimée en 1965, puis réactivée en 1970. En 1999, elle perd l'appellation de "corniche" et devient "compagnie des classes préparatoires". Le collège puis le lycée militaire
L'École militaire préparatoire d'Autun prend la dénomination de "collège militaire" en 1971, puis de "lycée militaire" en 1983. Le lycée militaire d'Autun assure l'enseignement à plusieurs centaines d'élèves chaque année.
Il est réparti en deux quartiers :
Caserne Changarnier : c'est la partie collège, elle comporte les classes de la sixième à la troisième. Quartier Gangloff : c'est la partie lycée et classes préparatoires, ainsi que le musée national des anciens enfants de troupe
Architecture du lycée
Au-dessus du porche, une tête de cheval rappelle ce qu'était la vocation première de l'école. Des galeries formant le cloître entourent la grande cour au milieu de laquelle se trouve une statue de la Vierge Marie et l'Enfant Jésus, datant de 1861. Chaque année, un concert y est donné dans le cadre du festival de musique "Musique en Morvan". Au fronton de l'aile gauche du cloître, au-dessus de l'horloge, se trouve le sceau de monseigneur de Roquette sculpté peu avant la guerre franco-prussienne de 1870.
En 1955, le général Kœnig, ministre des armées, inaugure le monument aux morts dédié à la mémoire de tous les anciens, morts pour la France, avant de remettre la Croix de guerre TOE au drapeau déjà titulaire de plusieurs décorations.
En 1985, le général René Imbot, chef d'état-major de l'armée de Terre et ancien élève d'Autun, inaugure un musée de tradition qui devient par la suite national et qui est installé dans la crypte de l'ancienne chapelle du séminaire.
Le cloître est constitué d'un toit bourguignon. Organisation du lycée
Le lycée militaire d'Autun est un lycée dépendant du ministère de la Défense, où les enfants de militaires ou de fonctionnaires sont acceptés seulement après une vérification du bulletin scolaire, du début de collège jusqu'à la classe où l'élève se trouve actuellement (uniquement pour les élèves collégiens et lycéens). En 2012, 15 % des places en lycée étaient attribués à des élèves boursiers, sans considération de l'origine professionnelle de leurs parents2.
Pour les classes préparatoires aux grandes écoles, le recrutement est différent. Il n'y a pas besoin d'être un enfant de fonctionnaire ou de militaire. Le recrutement se fait uniquement sur dossier, auquel est joint une lettre de motivation. Ces élèves étudient donc pour préparer les concours des grandes écoles militaires (cf. la liste en bas de page). Galerie de photos
Entrée du lycée.
L'épinglette du lycée.
L'épinglette des AET.
Les élèves
Au cours du XXe siècle, plus de cinq cent élèves, ou anciens élèves, sont "tombés au Champ d'honneur" justifiant pleinement la devise de l'école. Aujourd'hui, les élèves font partie de la grande famille des "AET", pour Ancien Enfant de Troupe. Ce terme existe depuis 1762, mentionné dans un décret de Louis XV et consacré en 1800 par Napoléon Bonaparte. Anciens élèves célèbres
Élèves de l'École Militaire Préparatoire de Cavalerie
Patrice de Mac-Mahon (1873-1879), président de la République
Élèves de l'École militaire préparatoire d'Autun
Bernard Gangloff (1925-1944), résistant Pierre Pouyade, (1924-1928), général Patrick Baudry (1946), astronaute Elrick Irastorza (1950), général
Élève du collège militaire
Denis Favier (1975-1978), général Romain Galland (Romano) (1979-), animateur de radio
Devise du lycée
La devise du lycée est « Pour la Patrie, toujours présents ». Décorations du drapeau
Légion d'honneur (croix de chevalier) ; Croix de guerre 1914-1918 avec citation à l'ordre de l'armée ; Croix de guerre 1939-1945 avec citation à l'ordre de l'armée ; Croix de guerre des TOE (1955) avec citation à l'ordre de l'armée ; Médaille de la Résistance (avec rosette).
On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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bravo Annie pour le lycée militaire
Gégé faut réessayer
Chantal super les vacances en Septembre
aujourd'hui le Palais des rois de Majorque
Le palais des Rois de Majorque, Palau dels Reis de Mallorca (ou Castell Reial de Mallorca ou Castell Major) en catalan est un palais-forteresse de style gothique situé à Perpignan. Cet édifice fut achevé en 1309.
Le palais est situé sur la colline du Puig del Rei, qui domine la plaine du Roussillon et la ville de Perpignan, et qui fait face au quartier populaire et pittoresque de Saint-Mathieu. on y aperçoit au loin les sommets enneigés du massif du Canigou. Parmi ces bâtiments se trouvent notamment le palais majorquain de Jaume II qui témoigne de la richesse de ce petit royaume méditerranéen du XIIIe siècle. La citadelle fut développée par Louis XI puis renforcée par Charles Quint et son fils Philippe et ne cédera aux troupes de Louis XIII, qu'après un siège de dix mois, le 9 septembre 1642.
En 1276, le roi de Majorque Jaume II fait de Perpignan sa capitale. Sur une colline au sud de la ville, il commence à faire construire un palais entouré de jardins qui sera achevé en 1309. Il sera construit en 25 ans. Il se trouve au cœur de la citadelle de Perpignan. Longtemps appelé le château de Perpignan il ne trouvera son nom de Palais des rois de Majorque qu'au XIXe siècle.
Organisé autour de trois cours de 60 mètres de côté, c'est un palais-forteresse de style gothique. Il est composé en entrant de la tour des hommages, de la salle( banquets, réception, réunions..) les premiers appartements du Roi lors de la construction. En face l'entrée la première chapelle dite basse ou de la Reine et au-dessus de part et d'autre de la chapelle haute les appartements du Roi et de la Reine. Sur les côtés se trouvent les communs, les écuries et hangars. Il abrite notamment deux chapelles superposées : une chapelle basse, dite chapelle de la Reine, et une chapelle haute, dite de Sainte-Croix, au très beau portail de marbre rose, qui présente des caractéristiques communes avec la Sainte Chapelle construite quelques décennies auparavant. Ce portail est du gothique visible par un soubassement avec des angles droits et des sculptures bien détachés de la paroi même si le haut de la porte est arrondi. À l'intérieur les fenêtres sont gothiques ainsi que la voûte. La chapelle est accessible de part et d'autre par les appartements de la Reine (à droite) et du Roi ( à gauche). Dans l'alcôve qui cache la porte du Roi se trouve une frise verte qui reprend l'écriture arabe pour signifier Allah " Il n'est de Dieu que Dieu ". C'est un mélange de culture arabo-hispanique avec une architecture en évolution du roman vers le gothique.
Le Royaume d'Aragon et l'Empire des Habsbourg (1349-1659)
La fin du Grand Schisme d'Occident (1415)
Le Palais fut l'un des endroits clef des négociations entre l'empereur Sigismond de Luxembourg, et l'antipape Benoît XIII, pour permettre au Concile de Constance de mettre fin au Grand Schisme d'Occident. Ce palais a connu quelques transformations lorsque les rois d'Aragon y ont pris la suite des rois de Majorque, et s'ouvre alors au XVe siècle, le Siècle d'or catalan. Le Siècle d'or espagnol (1492-1648)
L'intégration du palais à la citadelle de Perpignan, commencée sous les rois catholiques et achevé par Charles Quint, modifièrent profondément sa structure. Lors du siège de 1502, une grande partie de l'aile nord du palais fut détruite. Aujourd'hui seule une tour sur les sept qui jalonnaient l'enceinte subsiste à sa hauteur originelle. La guerre franco-espagnole et le rattachement au royaume de France(1635-1659)
Le Traité des Pyrénées formalise une paix conclue entre le royaume d'Espagne et le royaume de France à l'issue d'une partie de la guerre de Trente Ans (1618-1648), la guerre franco-espagnole commencée en 1635.
Les jardins du Palais
Ces jardins situés dans l'enceinte du palais sont une oasis de calme et de verdure surplombant la ville de Perpignan. Ils sont sur deux niveaux au-dessus des remparts et permettent une vue sur l'ensemble de la plaine du Roussillon vers l'Ouest, le Força Réal, le massif du Canigou, et la chaîne des Albères jusqu'à la mer Méditerranée. Au XIVe siècle, une ménagerie peuple le château et partage l'intimité de la famille royale. on y voit des loups, des ours, des lions et des lionnes, dans les fossés, il y a également des perroquets, des lévriers, une fauconnerie pour la chasse, et dans les bois proches hors les murs il y a des autruches, paons, lapins et porcs-épics pour la réserve de chasse du roi.
poutous à toutes et tous
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Ludy-Jade est venue poster un message en soirée en s'attaquant à Tina avec une faute d'orthographe que j'ai relevée! J'ai pourtant laissé un message à l'attention de chacune et chacun d'entre vous.
Sans doute blessée dans son amour propre d'ex prof de français, elle a préféré enlever son message,celui de Gégé et le mien.Je n'aime guère cette intrusion sur mon fil.
Je sais qu'il faut ignorer ce genre de personne, mais j'en ai marre de devoir baisser pavillon.
Claire
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Inscrit le: 25/09/2006 Messages: 4 625
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Claire,toi aussi tu dérailles!!!
Elle a bon dos LUDY-JADE!
Dès qu'il y a un os...c'est Ludy-Jade qui encaisse.
SANS VOIR PLUS LOIN QUE LE BOUT DU NEZ.
Certes,j'ai répondu à Tina,sans doute avec REACTIVITE.
Je n'étais pas d'accord avec son calendrier scolaire!et je le faisais savoir!
Elle raconte des conneries...ou alors...elle vit loin très loin de chez nous!
Ce message,je l'ai laissé!
Car le but:qu'il soit lu..pas pour l'effacer
Ensuite.....si des messages ont été effacés...vois avec les membres de ton fil....
Sont pas tous des anges!
N'y suis pour rien!
Un peu de RESPECT madame Claire...."ignorer ce genre de personne"....très PEJORATIF!!!!MECHANT!
Es-tu plus fréquentable que moi???
je rêve.....je n'imaginais pas les gens aussi PRIMAIRES!
Sans sources,ils accablent!
Ludy-Jade.
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Inscrit le: 25/09/2006 Messages: 4 625
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Claire,tu te contentes de
Assume!
LJ;
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Ludy-Jade,
J'ai autre chose à faire que de rentrer dans une polémique aussi imbécile que stérile.
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Odette,
Qu'elles sont belles et délicates les campanules. En grand format c'est très joli.
Béa, Merci pour ce nouveau reportage ce palais des rois de Majorque. Le bâtiment est vraiment beau et le lycée d'Autun également, Annie.
Chantal, Vous avez de belles et agréables rencontres programmées dans les jours prochains
Gégé, :bisou: Calme-toi. J'aime bien tes Bouddhas car ils sont paisibles...
:bisou: et bonne nuit.
Claire
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Inscrit le: 25/09/2006 Messages: 4 625
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Claire,
Pas la peine d'écrire en ROUGE..suis pas miro!
Là,tu n'as plus d'arguments...
Je n'ai pas effacé mon message....
MARRE DE TOUT ENDOSSER....c'est pas écrit "CON"sur ma casquette!
Si tu le souhaites,je peux te le remettre.
MADRE MIA....dans quel monde de débilité vivons-nous!!!!!
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Je pense que tu fais de la projection psychologique.
Et maintenant BASTA
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
CLAIRE :bisou: JE ME SUIS CALME MAIS JE N'AI JAMAIS AIME LES IMBECILES
BEA :bisou: MERCI POUR LE PALAIS DES ROIS DE MAJORQUE
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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les poutous
je pensais bien que ça vous plairai Gégé
un petit tour en Espagne avec le Palais des Rois de Navarre
à l'abri des regards indiscrets
Le Palacio de los Reyes de Navarra, en français le Palais des rois de Navarre, qui est actuellement Archives Royales et Générales de Navarre, se trouve à Pampelune, capitale de la Navarre, (Espagne).
Ce bâtiment a été entamé comme Palais des rois au XIIe siècle, après la Conquête de la Navarre au XVIe siècle, devenant plus tard la résidence des Vice-rois, pendant trente ans la Capitainerie Générale, donc Gouvernement Militaire jusqu'à 1971 et après un long abandon, a été réformé durant l'année 2003 par Rafael Moneo pour le transformer en Archives Royales et Générales de Navarre.
Il a eu plusieurs dénominations le long de son histoire, pour cela on effectue de suite une datation de ces dernières :
De 1189 à 1841 : Palacio Real de San Pedro (Palais royal de San Pedro), Palacio Real y Episcopal de San Pedro (Palais Royal et Épiscopal de San Pedro), Palacio Real (Palais royal). La dénomination de San Pedro est pour l'église qu'il y avait dans le lieu (actuelle église de san Fermín d'Aldapa)
De 1841 à 1872 : Palacio de Capitanía General (Palais de Capitainerie Générale)
De 1876 à 1971 : Gobierno Militar (Gouvernement Militaire).
Le bâtiment a été abandonné, jusqu'en 1979 entre les mains de l'armée espagnole et plus tard sous la possession de la Mairie de Pampelune et du Gouvernement de Navarre.
Actuellement, depuis le 2003 : Archives Royales et Générales de Navarre.
Dans ce terrain de la ville de La Navarrería existait une interdiction d'Alphonse Le Batailleur de construire dans cette zone pour protéger la ville de San Cernin qui était au-dessous, séparée de cette dernière par un ravin. Sanche VI Le Sage l'a révoqué, en accord avec l'évêque, qui avait Droit de propriété de tous les terrains de la ville, que l'espace pour la construction d'un Palais était la propriété Royale. Ce Palais sera hypothéqué en 1198 par le roi Sanche VII Le Fort à l'évêque de Pampelune, qui donnera lieu à de nombreux procès et qui sera utilisé de manière conjointe par la Couronne et le siège épiscopal.
Thibaut Ier, en arrivant à Pampelune en 1246, s'est trouvé avec le Palais occupé par l'évêque Pedro Ruiz de Piedrola, et a dû loger dans le "vieux palais", près de la chapelle de Jésus-Christ, à côté du Cloître de la cathédrale. Ceci a entamé une tension entre les deux pouvoirs combattant pour la possession du Palais. Thibaut Ier a accusé l'évêque Pedro Jiménez de Gazólaz de traître et de cet échange, l'a excommunié, s'enfuyant à Navardún qui appartenait à la Couronne d'Aragon, pour éviter des représailles, et où il passera trois ans. Le monarque a dû s'approcher de Rome pour solliciter le retrait de l'excommunication. Ce même évêque de Gazólaz a restitué à Thibaut II le Palais, mais le Pape Alexandre IV a annulé cette restitution, en continuant les différences.
En 1276, pendant la guerre de La Navarrería, le Palais a subi des dommages considérables, puisque depuis l'esplanade les habitants de la Navarrería avaient attaqué la ville de San Cernin avec des catapultes.
Le Pape Martin V s'est disposé a rendre le Palais Royal de San Pedro à Blanche Ire de Navarre, occupé depuis lors par les rois de Navarre jusqu'à sa conquête. Après l'invasion il y a eu une autre tentative épiscopale d'obtenir le Palais, cette fois par l'évêque de Pampelune Bernardo de Rojas Sandoval, qui était castillan et qui a fait un procès à la couronne espagnole, qu'il perdra.
Après la Conquête de la Navarre devient le lieu de résidence des vice-rois espagnols, apparemment depuis 1539. Ils ont été aussi hébergés les rois d'Espagne quand ils visitaient la ville. Ainsi Philippe II en 1592, qui selon des versions a enlevé le blason épiscopal de l'entrée et a mis le blason royal qui était dans le vieux château, gardé jusqu'à présent. Philippe V y a séjourné en 1706. Joseph Bonaparte dans son retour vers la France a aussi résidé dans ce dernier.
Dans ce Palais on a été hébergé depuis février 1936 Emilio Mola, comme Gouverneur Militaire et une fois qu'il été nommé à Madrid, dans une réunion secrète, chef du coup d'État contre la Seconde République espagnole et qui déclenchera la Guerre Civile Espagnole.
En 1976, il est abandonné et a été déclaré Monumento Histórico Artístico à caractère provincial. on effectuait entretemps des études pour projeter leur réadaptation, le bâtiment a subi, de manière réitérée, l'agression des incendiaires intentionnés, avec les incendies de mai 1978 avec une périodicité quasi mensuelle et atteindra son zénith en octobre 1983 dans lequel, en quinze jours, les pompiers ont dû intervenir à 12 occasions.
Les architectes Manuel Iñiguez et Alberto Uztarroz ont livré en septembre 1987 un avant-projet, par ordre du Gouvernement de Navarre, dans lequel le bâtiment était intégralement gardé comme Musée de l'Histoire de la Navarre. En 1993 il a été décidé de le destiner aux Archives Historiques de la Navarre et pour cela on a contacté l'architecte Rafael Moneo pour élaborer le projet définitif. En 1994 on a entamé les travaux, démolissant une partie du bâtiment, quelque chose qui n'avait pas été considéré dans l'avant-projet. De même on a érigé une tour annexe où sont situées les archives.
À la suite de la visite de Philippe II on a changé le blason de la Navarre de l'entrée par celui des Habsbourg, qui est conservé actuellement.
Les tours médiévales ont pu conserver jusqu'à la moitié du XVIIe siècle, en se basant sur l'aquarelle que Pierre Boller a faite alors du Palais.
Un incendie en 1733 du moulin de la poudrerie semble avoir eu d'importantes répercussions sur le Palais. Dans les XVIIe et XVIIIe siècles, on a significativement modifié sa silhouette, en élevant les parois, en écimant les tours et en construisant l'aile est pour la fonte des canons.
poutous
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