file du coeur = celle du poutou - Filae.com |
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Tina, Quel reportage fabuleux sur Autun!
Béa, tu vas bien?
Annie, Je me doutais que tu allais réagir avec le reportage de Tina.
Gégé, Très beau temple.
Mélodie, Je préfère savoir qu'il s'agit de problèmes d'ordianteur.
:bisou: Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 16/02/2008 Messages: 1 119
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Coucou les poutous.....encore une belle journée qui s'annonce!!!! et pourtant, sur le calendrier, la semaine prochaine c'est l'Automne..... Merci TINA pour ce reportage....quel dur travail que celui des mineurs!!!!! ANNIE bon courage à toi et pour ta fille....la vie est une suite de séparations..... Bon Dimanche à tous et gros poutous AMarie
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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RE....
GERARD
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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les poutous
Claire tout va bien, hier journée en famille,Lohan grandit bien
Tina magnifique toutes ces photos et cartes postales un régal
je vous emmène donc à la cité de Carcassonne
La Cité de Carcassonne
La Cité de Carcassonne est un ensemble architectural médiéval qui se trouve dans la ville française de Carcassonne dans le département de l'Aude, région du Languedoc-Roussillon. Elle est située sur la rive droite de l'Aude, au sud-est de la ville actuelle. Cette cité médiévale fortifiée, dont les origines remontent à la période gallo-romaine, doit sa renommée à sa double enceinte, atteignant près de 3 km de développement et comportant cinquante-deux tours, qui domine de manière spectaculaire la vallée de l'Aude. La Cité comprend également un château (le château comtal) et une basilique (la basilique Saint-Nazaire).
Sauvée de la destruction par l'action et la tenacité de l'archéologue Jean-Pierre Cros-Mayrevieille, puis restaurée au XIXe siècle de manière parfois controversée sous la direction de Viollet-le-Duc puis de Boeswillwald, la Cité de Carcassonne est, depuis 1997, classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. Le château comtal, les fortifications, et les tours appartiennent à l'État et sont gérés par le centre des monuments nationaux, tandis que les lices et le reste de la Cité font partie du domaine municipal.
La Cité de Carcassonne est située sur la rive droite de l'Aude en surplomb de la ville de Carcassonne située à l'ouest. Elle se trouve entre la Montagne noire et les Pyrénées sur l'axe de communication allant de la mer Méditerranée à l'océan Atlantique. La présence des deux montagnes forme le couloir carcassonnais souvent cité lorsque les climatologues parlent du vent qui souffle dans ce couloir. Cet emplacement est donc un lieu stratégique du sud de la France permettant de surveiller cet axe de communication majeur : au Nord vers la Montagne Noire, au Sud vers les Corbières, à l'Ouest vers la plaine du Lauragais et à l'Est la plaine viticole vers la Méditerranée.
La Cité est construite au bout d'un petit plateau constitué par le creusement de l'Aude à environ 150 mètres d'altitude au-dessus de la ville basse. La première enceinte construite par les Wisigoths suit les dépressions du terrain. Ce plateau se détache du massif des Corbières sur la commune de Palaja à 260 m d'altitude, passe dans la Cité à 148 m et finit sa course dans l'Aude à 100 m. Du côté Ouest, la pente est assez raide offrant un accès difficile à d'éventuels assaillants. À l'Est, la pente est plus douce et permet un accès aisé des marchandises, mais aussi des attaquants. Aussi, les plus importants mécanismes de défense se trouvent de ce côté de la Cité.
2 500 ans d'histoire
La Cité a été successivement un site protohistorique, une cité gallo-romaine, une place forte wisigothe, un comté, puis une vicomté, puis finalement une sénéchaussée royale. Chacune de ces étapes, entre la période romaine et la fin du Moyen Âge, a laissé des témoignages dans les bâtiments qui la composent.
Des Gallo-romains aux Wisigoths
Des restes d'un oppidum fortifié, oppidum Carcaso proche de l'emplacement actuel de la Cité, ont été mis au jour par des fouilles archéologiques. Ce lieu est déjà un important carrefour commercial comme le prouvent les restes de céramiques campaniennes et d'amphores. Vers 300 avant J.-C., les Volques Tectosages prennent possession de la région et fortifient l'oppidum de Carcasso. Pline l'Ancien mentionne l'oppidum dans ses écrits sous le nom de Carcaso Volcarum Tectosage. Ils extrayaient déjà l'or de la mine de Salsigne pour constituer des offrandes à leurs dieux.
En 122 avant J.-C., les Romains annexent la région qui sera intégrée dans la colonie Narbonnaise créée en 118 avant J.-C. Les Romains sont déjà bien connus, car depuis deux cents ans leurs marchands parcourent la région. Sous la Pax Romana la petite cité gallo-romaine de Carcaso, devenue chef-lieu de la colonie Julia Carcaso, prospère sans doute grâce au commerce du vin et à son implantation sur les voies de communication : elle jouxte la voie romaine qui va de Narbonne à Toulouse tandis que les bateaux à fond plat circulent sur l'Atax au pied de l'oppidum. Ce dernier est agrandi par remblayage et les rues et ruelles forment un plan orthogonal, mais cependant, aucun lieu public ni monument de culte n'est actuellement connu. Au pied de l'oppidum, une agglomération s'étend le long de la voie romaine.
À partir du IIIe siècle, la ville se retranche derrière une première série de remparts. En 333 après J.-C., des textes d'un pèlerin mentionnent le castellum de Carcassonne. Ces remparts sont encore visibles dans certaines parties de l'enceinte et servent de soubassements aux actuelles murailles. Les tours de la Marquière, de Samson et du Moulin d'Avar sont les témoins en partie intacts de cette enceinte primitive. Cette muraille protège la Cité des attaques extérieures tout en permettant de contrôler les passages sur la voie romaine située en contrebas.
Au milieu du Ve siècle, les Wisigoths prennent possession du Languedoc, grâce probablement à la victoire d'Athaulf pendant sa marche sur Toulouse. La Cité jouit peu à peu d'une relative paix politique jusqu'au règne d'Alaric II, comme l'atteste le nombre important de pièces de monnaie des monarques wisigoths de cette époque. En 507, les Francs chassent les Wisigoths d'Aquitaine, mais ces derniers conservent la Septimanie dont fait partie la Cité de Carcassonne. En 508, Clovis lance en vain une attaque contre la Cité21. En 585, une nouvelle attaque de Gontran, roi franc de Burgondie est couronnée de succès. Mais, les Wisigoths reprennent la cité peu après et en restent maîtres jusqu'en 713. Au cours du VIe siècle, Carcassonne devint, avec Agde et Maguelonne, le siège d'un évêché. Une cathédrale wisigothique, dont l'emplacement n'est pas connu, est alors construite.
En 725, le Wali Ambisa prend Carcassonne à la suite de la conquête du royaume wisigoth d'Espagne par les musulmans. La Cité reste entre les mains des musulmans jusqu'en 752, date à laquelle elle est prise par les Francs conduits par Pépin le Bref. C'est cet épisode qui inspira aux auteurs de l'histoire la légende de Dame Carcas détaillée plus loin dans cet article.
L’époque féodale
Carte postale représentant la porte de l'Aude dans les années 1910
Le début de la féodalité s'accompagne de l'expansion de la ville et de ses fortifications. Elle est aussi marquée par la construction de la cathédrale à partir de 1096 puis par celle du château comtal au XIIe siècle. Ce château est constitué à l'origine de deux corps de logis auxquels est ajoutée en 1150 une chapelle qui donne un plan en U autour de la cour centrale. Vers 1240 le château est rehaussé d'un second étage.
C'est aussi la période des comtes de Carcassonne. Le premier comte désigné par les Carolingiens est Bellon auquel succède Oliba II. La charge des comtes est d'administrer la région pour le compte du royaume carolingien. Au IXe siècle, la locution latine Cité de Carcassonne revient régulièrement dans les textes et chartes officiels. En 1082, la famille Trencavel prend possession de la ville, en profitant des embarras de la Maison de Barcelone propriétaire légitime, et l'annexe à un vaste ensemble allant de Carcassonne à Nîmes.
Bernard Aton IV Trencavel, vicomte d'Albi, de Nîmes et de Béziers, fait prospérer la ville et lance de nombreuses constructions. C'est également durant cette période qu'une nouvelle religion, le catharisme, s'implante avec succès dans le Languedoc. Le vicomte de Trencavel autorise en 1096 la construction de la basilique Saint-Nazaire dont les matériaux sont bénis par le pape Urbain II. En 1107, les Carcassonnais rejettent la suzeraineté de Bernard Aton, qui avait promis de rendre la Cité à son possesseur d'origine Raimond-Bérenger III de Barcelone et font appel au comte de Barcelone pour le chasser. Mais, avec l'aide de Bertrand de Tripoli, comte de Toulouse, Bernard Aton reprend le contrôle de la Cité. En 1120, les Carcassonnais se révoltent de nouveau, mais Bernard Aton rétablit l'ordre quelques années plus tard. En 1130, il ordonne le début de la construction du château comtal désigné sous le terme de palatium et la réparation des remparts gallo-romains. Dès lors, la Cité de Carcassonne est entourée de sa première fortification complète.
À cette époque la Cité est riche et sa population est comprise entre 3 000 à 4 000 personnes en incluant les habitants des deux bourgs qui se sont édifiés sous ses murailles : le bourg Saint-Vincent situé au Nord et le bourg Saint-Michel situé au sud de la porte Narbonnaise. La ville se dote en 1192 d'un consulat, composé de notables et de bourgeois, chargés d'administrer la ville, puis en 1229 d'une charte coutumière.
Le pape Innocent III, instigateur de la croisade des Albigeois en 1208
En 1208, le pape Innocent III, confronté à la montée du catharisme, appelle les barons du nord à se lancer dans la croisade des Albigeois. Le comte de Toulouse, accusé d'hérésie, et son principal vassal le vicomte de Trencavel sont la cible de l'attaque. Le 1er août 1209, la Cité est assiégée par les croisés. Raimond-Roger Trencavel se rend très rapidement, le 15 août, en échange de la vie sauve de ses habitants. Les bourgs autour de la Cité sont détruits. Le vicomte meurt de dysenterie dans la prison même de son château le 10 novembre 1209. D'autres sources parlent d'un assassinat orchestré par Simon de Montfort, mais rien n'est sûr. Dès lors, la Cité sert de quartier général aux troupes de la croisade.
Les terres sont données à Simon de Montfort, chef de l'armée des croisés. Ce dernier meurt en 1218 au cours du siège de Toulouse et son fils, Amaury VI de Montfort, prend possession de la Cité, mais se révèle incapable de la gérer. Il cède ses droits à Louis VIII de France, mais Raymond VII de Toulouse et les comtes de Foix se liguent contre lui. En 1224, Raimond II Trencavel reprend possession de la Cité après la fuite d'Amaury. Une deuxième croisade est lancée par Louis VIII en 1226 et Raimond Trencavel doit fuir. La Cité de Carcassonne fait désormais partie du domaine du roi de France et devient le siège d'une sénéchaussée. Une période de terreur s'installe à l'intérieur de la ville. La chasse aux cathares entraîne la multiplication des bûchers et des dénonciations sauvages, avec l'installation de l'Inquisition dont on peut toujours voir la maison dans l'enceinte de la Cité.
Les visiteurs dans les lices construites à l'époque royale
L'époque royale
Louis IX ordonne la construction de la deuxième enceinte pour que la place puisse soutenir de longs sièges. En effet, à cette époque, les menaces sont nombreuses dans la région : Raimond Trencavel, réfugié en Aragon, cherche toujours à reprendre ses terres qu'il revendique et le roi d'Aragon, Jacques Ier le Conquérant, fait peser une lourde menace sur cette région toute proche des frontières de son royaume. De plus, ces constructions permettent de marquer les esprits de la population de la Cité et de gagner leur confiance. La Cité fait partie du système de défense de la frontière entre la France et l'Aragon. Les premières constructions concernent le château comtal adossé à la muraille ouest. Celui-ci est entouré de murailles et de tours à l'intérieur même de la Cité pour assurer la protection des représentants du roi. Ensuite, une deuxième ligne de fortifications est commencée sur environ un kilomètre et demi avec quatorze tours. Cette enceinte est flanquée d'une barbacane qui contrôle les abords de l'Aude.
En 1240, Raimond Trencavel tente de récupérer la Cité, avec l'aide de quelques seigneurs. Il occupe les bourgs situés sur les rives de l'Aude et obtient l'aide de ses habitants qui creusent des tunnels depuis leurs maisons pour saper la base des enceintes. La double enceinte joue son rôle défensif, car Raimond Trencavel est ralenti. La garnison menée par le sénéchal Guillaume des Ormes résiste efficacement. Raimond Trencavel est bientôt obligé de lever le siège et de prendre la fuite face à l'arrivée des renforts du roi Louis IX. En 1247, il renonce devant le roi Louis IX à ses droits sur la Cité. La Cité de Carcassonne est définitivement rattachée au royaume de France et est désormais gouvernée par des sénéchaux.
À compter de cette date, la place forte n'est plus attaquée y compris durant la guerre de Cent Ans. Les aménagements et agrandissements qui vont suivre peuvent être regroupés en trois phases38. Les premiers travaux sont commencés immédiatement après la dernière attaque de la Cité. Ils permettent de réparer les enceintes, aplanir les lices, ajouter des étages au château et construire la tour de la Justice. La deuxième phase de construction a lieu sous le règne de Philippe III, dit le Hardi : elle comprend la construction de la porte Narbonnaise, de la tour du Trésau, de la porte Saint-Nazaire et de toute la partie de l'enceinte environnante, ainsi que la réparation de certaines tours gallo-romaines et de la barbacane du château comtal. Les bourgs de Saint-Vincent et de Saint-Michel jouxtant l'enceinte sont rasés pour éviter les conséquences d'une collusion entre leurs habitants et les assaillants comme cela s'était produit durant le dernier siège. Enfin, une troisième et dernière phase de travaux se déroule sous le règne de Philippe le Bel et consiste à moderniser la place forte. De nombreuses parties de l'enceinte sont alors reconstruites en utilisant les techniques de défense les plus récentes. Les antiques murailles situées à l'ouest sont également rénovées.
Édouard de Woodstock, le Prince Noir préfère s'attaquer à la ville basse plutôt qu'à la Cité en 1355
En 1258, le traité de Corbeil fixe la frontière entre la France et l'Aragon près de Carcassonne, dans les Corbières. Louis IX renonce à sa suzeraineté sur la Catalogne et le Roussillon et en contrepartie le roi d'Aragon abandonne ses visées sur les terres du Languedoc. Désormais la Cité joue un rôle majeur dans le dispositif de défense de la frontière. Elle constitue une deuxième ligne de défense persuasive en arrière des postes avancés que sont les châteaux de Peyrepertuse, Aguilar, de Quéribus, de Puilaurens et de Termes désignés comme les « cinq fils de Carcassonne ». Au XIIIe siècle, la Cité de Carcassonne est l'une des places fortes les mieux pourvues de France et sert de réserve d'armes pour les alliés. La Cité n'est jamais attaquée ni inquiétée aussi les troupes qui y sont stationnées sont peu à peu réduites. À la fin du XIVe siècle, la Cité n'est plus capable de résister aux nouvelles armes à poudre. Néanmoins, sa situation frontalière reste un atout stratégique et une garnison est maintenue41. En 1418, les hommes en garnison dans la Cité ont en général un second métier. À cette époque, de l'autre côté de l'Aude, une nouvelle ville dite ville basse se construit sous forme de bastide.
Peu de faits de guerre ou de conflits majeurs marquent la période royale. En 1272, le comte de Foix, rebelle, est enfermé par Philippe III de France dans la Cité de Carcassonne. En 1283, un traité d'alliance est signé entre le roi de France et le roi de Majorque Jacques II contre Pierre III d'Aragon. Le pape Clément V passe par Carcassonne en 1305 et 1309. En 1355, le Prince Noir n'ose pas s'attaquer à la Cité trop puissamment défendue et se contente de détruire et piller la ville basse. La Cité devient prison d'État au XVe siècle dans laquelle sont enfermés les ennemis du roi comme Jean IV d'Armagnac. La peste décime les habitants de Carcassonne et de la Cité en 1557. En 1585, la Cité est attaquée par les huguenots mais ils sont repoussés par les « mortes-payes ».
Entre 1560 et 1630, durant les guerres de religion, la Cité reste un dispositif militaire important pour les catholiques. Elle subit des attaques de la part des protestants. En 1575, le fils du sire de Villa tente d'attaquer la forteresse. En 1585, les hommes de Montmorency font de même, mais là aussi c'est l'échec.
La mort de Henry III déclenche des affrontements entre les habitants de la ville basse fidèle à Henry IV, son successeur légitime, et au duc de Montmorency, et la Cité qui refuse de reconnaître le nouveau roi et prend le parti de la Ligue. Au cours des violents combats qui s'étalent sur près de 2 ans, les faubourgs de la Cité situés aux abords de la porte de l'Aude sont détruits. Cette dernière est murée et le quartier de la Trivalle est incendié. En 1592, les habitants de la Cité se rallient au roi.
L'abandon de la Cité
Le XVIIe siècle marque le début de l'abandon de la Cité. En 1657, le présidial, la juridiction en place à Carcassonne, est transféré de la Cité à la ville basse. En 1659, la Cité de Carcassonne perd sa position stratégique à la suite de la signature du Traité des Pyrénées qui rattache le Roussillon à la France et fixe la frontière entre la France et l'Espagne à son emplacement actuel. La Cité est progressivement abandonnée par ses habitants les plus aisés et devient un quartier pauvre occupé par les tisserands. Les lices sont progressivement occupées par des maisons et des caves et des greniers sont installés dans les tours. La Cité se dégrade rapidement.
Le siège épiscopal est même transféré en 1745 de la cathédrale Saint-Nazaire située à l'intérieur la Cité à l'église Saint-Michel dans la ville basse45. La ville basse prospère grâce à l'industrie drapière. En 1790, le chapitre est aboli et le palais épiscopal et le cloître sont vendus puis détruits en 1795. En 1794, les archives de la tour du Trésau sont détruites par un incendie46. Sous l'Ancien Régime puis sous la Révolution, la Cité est réduite sur le plan militaire au rôle d'arsenal, entrepôt d'armes et de vivres puis, entre 1804 et 1820, est rayée de la liste des places de guerre et abandonnée ; elle est reclassée en seconde catégorie. La ville haute perd son autonomie municipale et devient un quartier de Carcassonne. Le château comtal est transformé en prison48. L'armée est alors prête à céder la Cité aux démolisseurs et récupérateurs de pierres.
La Cité connaît un déclin social avec l'augmentation de la pauvreté, mais aussi un déclin démographique. Entre 1819 et 1846, le nombre d'habitants est réduit d'environ 30 % passant de 1 490 à 1 351 habitants tandis que dans la ville basse la démographie augmente.
La ville haute domine la ville basse
la suite demain les poutous
Claire, Tina, Anne-Marie, Annie, Odette, Gégé, Alain, Mélodie et toutes celles et ceux qui passent ici
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Inscrit le: 08/12/2006 Messages: 10 338
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Un coucou avant de partir déjeuner avec des amis pour un repas Antillais sur l'hippodrome de Longchamp. Tina , je n'ai pas eu mon coup de fil, Bruno étant malade? Comme je l'ai dit sur le fil de Mélo, j'ai un pb avec Hérédis 12. Bruno doit me dire comment faire Anne Marie, je ne me fais pas trop de soucis pour ma petite fille, c'est ma fille qui s"en fait. Moi je suis passée par là voici bien longtemps, je sais ce que c'est mais par contre où çà m'a fait mal c'est le petit dernier est parti!!!là çà été dur!!! poutous bon dimanche On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonjour à Tous...
Aujourd'hui...une petite visite....en Alsace..
La ville de Barr..."Borr" en alsacien...
Barr est une commune française située dans le département du Bas-Rhin et la région Alsace..
Localité sur les contreforts du massif des Vosges au pied du mont de Sainte-Odile et à 8km au sud d'Obermai...
Le couvent sur le mont de Sainte-Odile...
Un lycée pour filles et garçons...
Barr est capitale viticole de l'Alsace avec sa plus ancienne foire aux vins alsaciens( 100ans ) et son historique "fête des vendanges" qui se déroule traditionnellement le 1er week end d'octobre..
on voit bien les vignes...
La commune abrite une partie de la "forêt de Landsberg" propriété forestier familial par 6 gestionnaires depuis l'année 1800....
N'oublions pas...les cigognes....
bonne fin d'après-midi...
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir
Coucou...Gégé :bisou: .. je n'arrive pas à trouver le nom.;
Merci..Anne-Marie :bisou: ....OUI!les mineurs payaient un lourd tribu avec les "coups de grisou"...une angoisse en permanence pour eux....sans oublier les maladies( les poumons surtout )
merci...Béa :bisou: ...tu te défends pas mal avec tes châteaux et des lavoirs....
Dommage..Annie :bisou: que tu n'as pas eu le coup de fil que tu espérais....
Mélo :bisou: ...si tu passes...j'ai tenu parole "un reportage" sur ton fil...
Claire :bisou: ..très beau aujourd'hui...ça va....
bonne soirée..
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir à tous...
Mélo n'est pas passé aujourd'hui...
Claire...tout va bien....pas de nouvelles..
Bonne nuit..
:bisou: à tous
à +
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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bonjour toutes et tous
merci Tina un régal pour toutes ces visites en images et photos que tu proposes
suite de la visite historique à la cité de Carcassonne
La restauration de la Cité
Le sauvetage de la Cité
Croquis de la Cité de Carcassonne par Eugène Viollet-le-Duc
Pour les habitants de Carcassonne, la Cité médiévale, située sur une butte difficile d’accès avec ses ruelles étroites et ses lices et remparts vétustes constitue désormais un quartier peu attrayant auquel s'oppose la ville nouvelle formée par la bastide Saint-Louis ou ville basse. La désaffection des habitants pour la Cité entraîne sa détérioration. Les tours se délabrent et la plupart sont converties en garages, hangars et autres bâtiments de stockage. Les lices sont progressivement envahies par des constructions (au XIXe siècle, les autorités y recensent 112 maisons). La destruction de la Cité médiévale est alors programmée.
La Cité est sauvée de la destruction totale par Jean-Pierre Cros-Mayrevieille, notable et historien, habitant au pied de la Cité. Dès 1835, il s'émeut de la destruction de la barbacane dont les pierres étaient pillées par les entrepreneurs locaux. C'est à lui que l'on doit les premières véritables fouilles dans la cathédrale de la Cité et la découverte de la chapelle de l'évêque Radulphe. L'écrivain Prosper Mérimée, inspecteur général des monuments historiques, a le coup de foudre pour ce monument en perdition. L'architecte Eugène Viollet-le-Duc, qui avait commencé la restauration de l'église Saint-Nazaire, est chargé d'étudier la restauration de la Cité. En 1840, la basilique Saint-Nazaire à l'intérieur de la Cité passe sous la protection des monuments historiques. Cette protection est étendue à l'ensemble des remparts en 186253.
En 1853, Napoléon III approuve le projet de restauration. Le financement est soutenu par l'État à 90 % et à 10 % par la ville et le conseil général de l'Aude. En 1855, les travaux commencent par la partie ouest-sud-ouest de l'enceinte intérieure, mais restent modestes. En 1857, ils se poursuivent sur les tours de la porte Narbonnaise et l'entrée principale de la Cité. Les fortifications sont çà et là consolidées, mais le gros du travail se concentre alors sur la restauration des toitures des tours des créneaux et des hourds du château comtal. L'expropriation et la destruction des bâtiments construits le long des remparts sont ordonnées. En 1864, Viollet-le-Duc obtient encore des crédits pour restaurer la porte de Saint-Nazaire et l'enceinte extérieure du front sud. En 1874, la tour du Trésau est restaurée.
État de la Cité à travers une carte postale de la porte de l'Aude
Eugène Viollet-le-Duc laissera de nombreux croquis et dessins de la Cité et de ses modifications. À sa mort en 1879, son élève Paul Boeswillwald reprend le flambeau puis l'architecte Henri Nodet. En 1889, la restauration de l'enceinte intérieure est terminée. Les travaux de restauration du château comtal débutent la même année et, en 1902, les travaux d'envergure sont achevés et les alentours de la Cité sont aménagés et dégagés. En 1911, les dernières maisons présentes dans les lices sont détruites et les travaux de restauration sont considérés comme terminés en 1913.
Seuls 30 % de la Cité sont restaurés. Durant les travaux de restauration de la Cité, le chanoine Léopold Verguet réalise de nombreux clichés de celle-ci, ainsi que des travaux de réhabilitation. Ces photos fournissent des témoignages sur le chantier et la vie autour la Cité à cette époque. Un autre photographe, Michel Jordy, historien et archéologue, apporte également sa contribution à la sauvegarde la Cité par ses recherches et ses photographies. Il est également le fondateur de l'hôtel de la Cité.
Les hourds restaurés par l'architecte Viollet-le-Duc.
Une restauration controversée
Dès 1850, les restaurations d'Eugène Viollet-le-Duc sont fortement critiquées. Ses détracteurs, comme Hippolyte Taine, dénoncent la différence entre les parties neuves et les parties en ruine considérant que ces dernières ont plus de charme. D'autres, comme Achille Rouquet ou François de Neufchâteau, regrettent le caractère trop gothique et le style « Viollet-le-Duc » des modifications. Aujourd'hui, les historiens soulignent surtout les erreurs du restaurateur. Joseph Poux regrette la mauvaise reconstitution des portes et des fenêtres des tours wisigothes et la bretèche de la porte de l'Aude.
Mais ce sont surtout les choix effectués pour la restauration des toitures qui furent fortement critiqués. Viollet-le-Duc, fort de ses expériences de restauration sur les châteaux du Nord de la France, choisit de coiffer les tours d'une toiture conique couverte d'ardoises, contrastant avec les toitures plates couvertes de tuiles romanes des châteaux de la région. Ce choix avait pour lui une logique historique, car Simon de Monfort et les autres chevaliers qui participèrent à la croisade des Albigeois venaient tous du Nord. Il n'est pas impossible que ces « nordistes » aient ramené avec eux leurs propres architectes et techniques. De plus, Viollet-le-Duc retrouva de nombreux fragments d'ardoise lors de ses restaurations de la Cité. C'est pour cela qu'aujourd'hui, on peut observer différents types de toiture dans la Cité de Carcassonne.
Le pont-levis, rajouté à l'entrée de la porte Narbonnaise, est également cité comme un exemple de reconstitution erronée. Par ailleurs, certaines restaurations sont parfois considérées comme trop parfaites et réduisant l'impression d'authenticité. Cependant, malgré ses erreurs, on considère aujourd'hui qu'Eugène Viollet-le-Duc a effectué un travail d'architecture remarquable qui a permis de restituer aux visiteurs une image cohérente sinon fidèle de la Cité de Carcassonne. Ainsi les campagnes de restauration menées aujourd'hui conservent les modifications apportées au modèle originel par l'architecte, car elles font désormais partie de l'histoire du monument.
XXe et XXIe siècles
Panorama de la ville fortifiée de Carcassonne et du Pont Vieux traversant l'Aude
En 1903, la Cité passe de la tutelle du ministère de la guerre au ministère des beaux-arts et en 1918, l'armée quitte définitivement la Cité de Carcassonne. En 1920, l'hôtel de la Cité est construit à l'intérieur même de la Cité entre le château comtal et la cathédrale de Saint-Nazaire. Cette construction néo-gothique provoque à l'époque de nombreuses protestations. En 1926, les Monuments historiques étendent leur protection en classant les terrains situés près des restes de la barbacane de l'Aude, les accès et la porte de l'Aude, ainsi qu'en inscrivant le Grand Puits au titre des Monuments historiques. En 1942, le classement s'étend encore avec l'ajout, en trois fois, de terrains autour de la Cité. Cette extension permet de protéger les abords directs de l'enceinte en empêchant d'éventuelles constructions.
En 1944, la Cité de Carcassonne est occupée par les troupes allemandes qui utilisent le château comtal comme réserve de munitions et d'explosifs. Les habitants sont expulsés de la Cité. Joë Bousquet, commandeur de la Légion d'honneur, s'indigne de cette occupation et demande par lettre au préfet la libération de la Cité considérée par tous les pays comme une œuvre d'art qu'il faut respecter et laisser libre.
En 1961, un musée est installé dans le château comtal. Puis en 1997, la Cité est classée au patrimoine mondial par l'UNESCO. Aujourd'hui, la Cité est devenue un site touristique important qui reçoit plus de 2 millions de visiteurs chaque année. Ces classements permettent à l'État de recevoir des subventions pour l'entretien du site. En contre-partie, il doit respecter l'architecture des lieux lors de constructions ou de rénovations et doit ouvrir la Cité aux visiteurs. Les monuments historiques gèrent les visites et la gestion du château comtal. Ils ont récemment rénové le parcours de visites en 2006 et 2007 en ajoutant une salle de projection et une nouvelle signalétique.
L'architecture de la Cité
L'art militaire a fortement influencé l'architecture de la Cité de Carcassonne. Son système de défense est exceptionnel par sa dimension, sa complexité et la qualité de sa conservation. C'est la plus grosse forteresse d'Europe.
Plan de la Cité
Emplacement de l'enceinte Wisigothe par Eugène Viollet-le-Duc
Plan de la Cité de Carcassonne avec un fond de plan réalisé par Eugène Viollet-le-Duc représentant la Cité au XIIIe siècle
Les parties remarquables de la Cité comprennent les deux enceintes et plusieurs bâtiments. Le plan ci-contre permet de localiser ces bâtiments décrits dans les sections suivantes. L'enceinte intérieure et les portes figurent en rouge tandis que l'enceinte extérieure et les barbacanes sont représentées en jaune :
1 - Porte Narbonnaise et barbacane Saint-Louis, 2 - Porte et barbacane Saint-Nazaire, 3 - Porte d'Aude, 4 - Porte du Bourg et barbacane Notre-Dame, 5 - Château comtal entouré d'un fossé et construit le long de l'enceinte intérieure, 6 - Barbacane de l'est protégeant l'entrée du château, 7 - Barbacane de l'Aude aujourd'hui détruite, 8 - Église Saint-Nazaire.
la suite demain
poutous Claire, Tina, Anne-Marie, Annie, Odette, Gégé, Mélo, Alain et tous les autres
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonjour à tous
Pas le temps maintenant....pour un reportage.. peut-être ce soir
Merci....Gégé :bisou: ..de la réponse...
Coucou..Béa :bisou: ...
Bon après-midi...
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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RE....
GERARD
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Inscrit le: 16/02/2008 Messages: 1 119
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Coucou les poutous. TINA, nous partons vers SANCERRE et irons voir les vendangeurs c'est ausi une très jolie région!!!! BEA je suis passée près de CARCASSONNE pour aller à la communion de mes petits fils qui étaient internes à MONTREAL d'AUDE.....depuis le train, les murailles sont impressionnantes!!!!!!! Pendant qques jours, je ne viendrai pas vous lire, sauf si le "point ordi" existe toujours au village où nous allons faire la garde????? Bonne semaine à tous et gros poutous AMarie
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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il a fait très beau...la pluie prévue demain après-midi...selon la météo...
Quand Anne-Marie :bisou: reviendra.....je mettrais "Sancerre"....je ne connais pas...
Claire :bisou: ....comment va...as-tu reçu ...
Bonne nuit...
:bisou:
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Anne-Marie, Bonne garde. Chiens ou chats? Faites des caresses de ma part.
Béa, J'ai adoré ce reportage sur la cité de Carcassonne que j'ai visité,il y a déjà longtemps. C'est superbe.J'adore la vue.
Tina, Je t'ai répondu. J'espère que tu continues à aller mieux. Un petit Amos qui lit le livre...
Gégé, Il faut se lever tôt pour retenir le nom du temple! C'est très joli et très fin.
Mélodie, Votre fantôme traversant la ville est très joli.
:bisou: Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 23/09/2006 Messages: 9 443
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à Toute la file :bisou:
recherche Cantal s/s déplacement
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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RE....
GERARD TEMPS MAUSSADE
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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bonjour les poutous
je mettrais la fin de l'histoire sur la cité de Carcassonne plus tard, j'ai entrepris de peindre mes volets avant l'hiver et tant que la t° est clémente
bonne journée à tous et toutes
poutous
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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bonjour les poutous
mercredi chargé, je repasse plus tard
de la pluie hier soir vers 22h30, 22° annoncé pour cet après-midi, idéal pour peindre
biz à toutes et tous
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Inscrit le: 08/12/2006 Messages: 10 338
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bonjour, un petit mot avant de partir chez le véto Mélo çà rince encore gratis sur ta file!!! J'avais mis un message hier soir vers 17h30 disparu!!!!! j'en ai plus que marre de ttes ces inepties deversées sur les uns et les autres du fil sur des personnes que j'apprécie bcp sauf....et être prise à partie sans avoir dit quoique se soit là je n'apprécie pas du tt!!!!excuse ma mauvaise humeur mais c'est plus fort que moi car mon message s'adressait à LJ poutous la file On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir
Zelzate
Zelzate est une commune néerlandaise.. dans la province Flandre-Orientale que cette dernière se partage 65 communes en tout..
Au début du siècle dernier..
Avant que le nom devient Zelzate...au début du siècle dernier.;
le Conseil de l'Europe décerna le Prix d'Europe en 1972 à la commune de Zelzate...
une école de filles..
il est indiqué " 1916 " mais est-ce la bonne pour ce canal..
Comme l'indique la date...
Un marché....début du siècle dernier..
Et pour finir...le même canal actuellement..
Bonne soirée....
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Béa, J'espère que tu n'es pas trop fatiguée par ta journée chargée.
Annie, Je comprends ta réaction, je suis sidérée de lire les propos de cette LJ sur les uns et les autres.
Tina, Bien ton reportage, j'aime beaucoup les vues anciennes,mais je suis surtout plus sensible aux beaux coins de France qu'à ceux des Pays-Bas. (ceci n'engage que moi)
Gégé, Je te remercie de ta réponse
Mélodie, Surtout, essayez de vous ménager en essayant de ne pas prendre cela trop à coeur. Bon courage.
Bon et :bisou: Calire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 23/09/2006 Messages: 9 443
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Bonjour à Toutes et à Tous :bisou:
recherche Cantal s/s déplacement
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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poutous à toutes et tous
Claire c'est rien de le dire, en plus de repeindre, je brosse les gonds et les pentures puis je passe de l'anti-rouille, c'est du boulot, pour les volets et la porte du grenier il faut attendre que ça sèche, puis je tourne et recommence
suite de la visite de la cité de Carcassonne
Les enceintes et les tours
Le matériau utilisé pour la construction des enceintes et des tours est la pierre dont est constitué le plateau sur lequel est édifiée la Cité. Il s'agit de grès ou molasse de Carcassonne qui a été extraite du plateau même ou des collines environnantes. Deux enceintes, entourant la Cité, sont séparées par un espace plat : les lices. Ce système comportait, à l'époque de sa mise en œuvre (avant la généralisation de l'artillerie), de nombreux avantages défensifs. Il permettait d'attaquer les assaillants selon deux lignes de tir ; l'enceinte extérieure, si elle était franchie, ralentissait les assaillants et les divisait ; les assaillants une fois parvenus dans les lices étaient particulièrement vulnérables dans cet espace dépourvu d'abri. De plus, la lice permettait aux cavaliers de combattre facilement. on distingue les lices basses, situées au nord et allant de la porte Narbonnaise à la porte de l'Aude où se trouvent les enceintes les plus anciennes datant des Wisigoths et les lices hautes, situées au sud, où se trouvent les murailles les plus récentes construites sous Philippe III le Hardi.
Les constructions gallo-romaines
Différentes époques sur une tour
Les tours gallo-romaines en forme caractéristique de fer à cheval
La première enceinte, construite sur un éperon rocheux, date de l'époque gallo-romaine ; elle permettait de dominer la vallée et le cours de l'Aude. Les soubassements de cette enceinte originelle sont encore visibles depuis la lice. Elle est construite à l'aide de grosses pierres et d'un mortier très dur. Le mur de cette enceinte était épais de deux à trois mètres74. Cette enceinte avait un périmètre de 1 070 m75 et protégeait une ville de sept hectares. Elle est constituée de moellons réguliers et de rangées de briques. Ces briques assuraient la stabilité de la construction grâce à leur flexibilité et rattrapaient les éventuels affaissements.
Il existe encore 17 tours d'origine gallo-romaine plus ou moins remaniées sur les trente tours que comportait initialement cette enceinte75. Une seule tour était de plan rectangulaire, la tour Pinte. Les autres tours reconnaissables dans les remparts ouest de la Cité grâce à leur forme en fer à cheval à l'extérieur et plate à l'intérieur. La partie inférieure des tours, dont le diamètre est compris entre 4,50 et 7 mètres, est constituée de maçonnerie pleine qui donnait une assise particulièrement solide. Les niveaux supérieurs comportent de larges ouvertures cintrées qui donnaient une grande efficacité aux armes de jet des défenseurs. Un système de fenêtre basculante assurait la défense et la protection de ces larges ouvertures. Les tours étaient recouvertes de tuiles plates à double rebord. La hauteur des tours était comprise entre 11,65 m et 13,70 m.
Les ouvrages de l'époque médiévale
Système des hourds sur un croquis d'Eugène Viollet-le-Duc
Durant le XIIIe siècle, les rois de France ordonnèrent la construction d'une seconde enceinte extérieure autour de la Cité. Les tours sont rondes souvent basses et dépourvues de toiture pour n'offrir aucun abri à des assaillants qui les auraient conquises contre les tirs venus de l'enceinte intérieure. L'enceinte est entourée d'un fossé sec sauf aux endroits ou le dénivelé ne rend pas cette défense nécessaire. L'espace entre les deux enceintes est aménagé en lices qui sont utilisées en temps de paix pour les manifestations en tous genres. Les murailles atteignent une hauteur de 10 à 12 mètres.
L'enceinte intérieure est modernisée sous Philippe III Le Hardi et Philippe IV Le Bel. L'entrée Narbonnaise, la Porte de Saint-Nazaire et la tour du Trésau sont construites. Ces édifices sont caractérisés par la hauteur impressionnante de leurs murs et l'emploi de pierres à bossage. La construction de l'enceinte est plus complexe et repose sur des fondations plus profondes que l'enceinte gallo-romaine, car elle atteint la roche du plateau. La réalisation de l'enceinte extérieure et des lices a nécessité de décaisser le terrain naturellement pentu. Une partie des soubassements extérieurs de l'enceinte gallo-romaine ont été mis à nu par ce terrassement et a dû faire l'objet d'une consolidation.
Le chemin de ronde permettait de faire tout le tour de la Cité en traversant les tours. Au Moyen Âge, la courtine est élargie grâce à un système de charpente en bois suspendu créant un abri au-dessus du vide. Ce système placé à cheval sur le rempart du nom de hourd permettait aux arbalétriers de tirer avec précision au milieu des lices. Des échauguettes sont construites sur la saillie de certaines murailles comme l'échauguette de la Vade.
Les tours médiévales diffèrent des tours Wisigoths tout en gardant leur forme extérieure caractéristique avec une façade extérieure bombée et une façade intérieure plate. Les échelles de bois sont remplacées par des escaliers intérieurs en pierre. La base des tours est fruitée, c'est-à-dire renflée afin que les projectiles ricochent sur la tour et se retournent contre les assaillants situés au pied de la muraille.
Les portes
L'enceinte est percée de quatre portes principales donnant accès à l'intérieur de la Cité. Les portes sont réparties aux quatre points cardinaux.
La porte narbonnaise construite sous le règne de Philippe III de France
La porte Narbonnaise
La porte Narbonnaise, située à l'est, est construite vers 1280 durant le règne de Philippe III le Hardi. Elle doit son nom à son orientation vers Narbonne. Viollet-le-Duc reconstitue le crénelage et le toit en ardoise de 1859 à 1860 et la dote d'un pseudo pont-levis qui n'existait pas à l'origine. Elle est constituée de deux tours imposantes renforcées par des becs destinés à détourner les tirs des assaillants. La porte est protégée par une double herse renforcée par un assommoir et des meurtrières80. Ces tours possèdent trois étages sur rez-de-chaussée. Le rez-de-chaussée et le premier étage sont voûtés alors que les étages supérieurs comportent un simple plancher. La tour nord possède un caveau pour les provisions tandis que la tour sud contient une citerne d'eau, permettant de faire face aux besoins des défenseurs de la tour pendant un siège de longue durée.
Au-dessus de cet ensemble se trouve une niche à couronnement tréflé dans laquelle est placée une statue de la Vierge. Cette porte est protégée par la barbacane Saint-Louis qui se trouve face à elle. Une échauguette située à droite de la porte permettait un tir direct sur les assaillants si ceux-ci parvenaient à prendre la barbacane. La porte Saint-Nazaire
Au sud, la porte Saint-Nazaire est aménagée dans la tour du même nom, l'une des deux tours carrés de la Cité. C'est un dispositif de défense complexe ; l'ouvrage était très abîmé et Viollet-le-Duc le reconstitua entre 1864 et 186681.
La tour protège la cathédrale Saint-Nazaire située juste derrière à 25 mètres dans la Cité82. Elle est équipée de quatre échauguettes ; le passage donnant accès à la lice et à la Cité comporte un coude de 90 degrés. Chaque entrée de ce passage est protégée par des systèmes de défense : mâchicoulis, herses et vantaux.
La tour possède deux étages bien aménagés pour le stationnement de la garnison avec une cheminée et des corps de placard. La plate-forme couronnant la tour permettait de recevoir un engin de guerre à longue portée.
La porte de l'Aude.
La porte d’Aude
La porte de l'Aude.
À l'ouest, la porte d'Aude fait face au fleuve du même nom. Elle est située près du château comtal. Cette porte se prolonge par la barbacane de l'Aude détruite en partie en 1816 pour construire l'église Saint-Gimer. Seule la rampe entourée de murs crénelés subsiste. Le système défensif de cette porte était complexe. Des hautes arcades cachent des fausses portes ne menant nulle part : ce dispositif était destiné à tromper l'ennemi. De plus, de nombreux couloirs en lacet possèdent différents paliers créant une souricière dans laquelle les assaillants se trouvaient bloqués et pouvaient être attaqués de toutes parts. La porte de l'Aude combine des systèmes de défense passive et active d’une grande sophistication.
La rampe, qui partait de la barbacane disparue, donne accès à cette porte. Elle monte la pente raide de l'ouest en faisant des lacets et traverse une première porte puis une seconde porte. L'avant-porte défend cet accès, situé entre l'enceinte intérieure et extérieure. L'enceinte intérieure est à cet endroit surélevée et épaulée d'un triple contrefort construit au XIIIe siècle. La porte proprement dite est d'origine wisigothe avec son plein cintre alterné de briques. Au-dessus de l'entrée, se trouvent une baie et une bretèche massives qui ne sont pas d'origine féodale, mais ont été ajoutées par Viollet-le-Duc lors de sa restauration. Cette porte, à l'aspect typiquement médiéval, a servi de décor pour de nombreux tournages de films comme Les Visiteurs, Robin des Bois : Prince des voleurs ou Le Corniaud.
La porte du Bourg ou de Rodez
Au nord, la porte du Bourg ou de Rodez donnait sur l'ancien bourg Saint-Vincent. Elle est directement creusée dans l'enceinte et était défendue par la barbacane Notre-Dame et la tour Mourétis.
La porte, assez modeste, est percée dans les remparts entre deux tours. Elle possède très peu de défenses. À l'époque des Wisigoths, la porte était protégée par une sorte d'avant-corps dont une muraille se prolongeait vers le bourg Saint-Vincent. Cet édifice a été remplacé par la suite par une barbacane sur l'enceinte extérieure, la barbacane Notre-Dame.
Le château comtal
Entrée du château comtal
Croquis du château comtal à l'époque d'Eugène Viollet-le-Duc
Le château comtal, est adossé à l'enceinte intérieure ouest à l'endroit où la pente est la plus raide. Il possède un plan en forme de parallélogramme allongé du nord au sud et est percé de deux issues à l'ouest du côté de la porte de l'Aude et à l'est du côté intérieur de la Cité. Il a été construit en deux temps.
Sa construction est lancée par Bernard Aton IV Trencavel durant l'époque romane aux alentours de 113093 pour remplacer un château primitif probablement situé à l'emplacement de la porte Narbonnaise. Le château est constitué de deux corps de bâtiment en L dominés par une tour de guet, la tour Pinte. Au nord se trouve une chapelle castrale dédiée à Marie dont il reste aujourd'hui que l'abside. Seule une palissade séparait le château du reste de la Cité.
Durant l'époque royale, entre 1228 et 1239, le château est complètement remanié devenant une forteresse à l'intérieur de la Cité. Une barbacane comportant un chemin de ronde et un parapet crénelé barre l'entrée du château juste avant le fossé qui l'entoure complètement jusqu'à l'enceinte intérieure. La porte d'entrée du château encadrée par deux tours est constituée d'un mâchicoulis, d'une herse et de vantaux. Le pont d'entrée est composé d'une partie en pont dormant, suivi d'une partie comportant un pont basculant et un pont-levis actionné par des contrepoids près de la herse de la porte d'entrée. Les murailles remplacent la palissade originelle et entourent complètement les bâtiments. Un système de hourds reposait sur l'enceinte telle que l'a reconstitué Viollet-le-Duc.
Le château et son enceinte comportent 9 tours dont deux sont d'époque wisigothe : la tour de la chapelle et la tour Pinte. La tour Pinte est une tour de guet carrée, la plus haute de la Cité. Toutes les autres tours ont des dispositions intérieures et extérieures identiques, car construites en même temps aux XIIe siècle. Ces tours sont constituées de trois étages et d'un rez-de-chaussée. Le rez-de-chaussée et le premier étage comportent un plafond voûté tandis que les étages supérieurs sont dotés de simples planchers. La communication entre les étages se fait par le biais des trous servant de porte-voix dans les voûtes et les planchers. Des hourds reconstitués par Viollet-le-Duc ornaient vraisemblablement l'enceinte et les tours comme le montre la reconstitution actuelle.
L'accès du château mène à une cour rectangulaire entourée de bâtiments remaniés de nombreuses fois entre le XIIe et le XVIIIe siècle. Les murs nord et est de la cour sont flanqués de simples portiques tandis qu'au sud et à l'est se trouvent deux bâtiments. Celui du sud contient les cuisines et permet d'accéder à une seconde cour. Elle contenait un bâtiment aujourd'hui détruit, mais ou sont encore visibles les emplacements des poutres du plancher du premier étage ainsi que plusieurs fenêtres. C'est aussi dans cette cour que se trouve la tour Pinte.
la suite plus tard
poutous à vous toutes et tous
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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RE....
UN VERITABLE ARTISTE A L'HOPITAL DES ELEPHANTS
GERARD
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir à tous
Aujourd'hui...Chalon-sur-Saône...
Place de l'hôtel de ville et la cathédrale Saint-Vincent...
Chalon-sur-Saône est une commune française qui fait partie de la métropole Rhin-Rhône..
Un pont sur la Saône..
Elle est située dans la région de Bourgogne et est sous-préfecture du département de la Saône-et-loire..
Une autre vue de la Saône...
Bâtie sur les bords de la Saône ,il y a plus de 2000ans...après avoir été base navale dans l'Antiquité,lieu de grandes foires pendant le Moyen-Age et centre centre de négoce des temps modernes et à l'époque contemporaine...
Au début du siècle dernier..
vers les années 1950..
Chalon-sur-Saône ,première ville du département.. Stituée à 341km au sud-est de Paris..202 au nord-est de Genève...et 127km au nord de Lyon...
Un jour de marché..
L'EuroVélo6 ou EV6..connue aussi sous le nom d'Eurovéloroute des fleuves...est une véloroute de type Euro vélo qui traverse Chalon-sur-Saône en reliant St-Nazaire à Constanta...c'est la plus célèbre...longue de 3653km..elle traverse l'Europe de Ouest à est..de l'Océan Atlantique à la Mer Noire en passant par 10 pays...elle suit l'itinéraire de 3 grands fleuves..la Loire..le Rhin...le Danube..
La carte de l'Eurovélo6
Une barque...des canards...au bord de la Saône...
Une rivière traverse la ville..elle se nomme la Saône...cette rivière peut déborder lors de certaines crues,comme en nov 1840 avec des hauteurs d'eau mesurées aux échelles à 7m28( soit plus de 6m à 5m5 au dessse du niveau normal )...
Bonne nuit..
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir à tous
Gégé :bisou: ....un éléphanteau qui fait de la peinture... je n'en avais jamais vu...c'est beau...
Coucou..Mélo :bisou: ....
Claire :bisou: ...un temps de grisaille..du soleil demain..
Bonne nuit..
:bisou:
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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bonsoir à toutes et à tous,
Béa, Super ce commentaire, le plan et les photos de Carcassonne.
Pauline, Une vue très ensoleillée à l'approche de l'automne.
Tina, ton reportage et toujours ces cartes anciennes si belles.
Gégé, J' ce peintre à l'hôpital des éléphants. Vraiment doué.
Mélodie, Un beau coucher de soleil pour apaiser les tensions...
:bisou: Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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poutous
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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RE....
QUEL BEAU REGARD
GERARD
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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les poutous
absente demain, nous serons ici
poutous
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir à tous
Pas pu venir avant
Aujourd'hui...Canet-Plage...
Carnet-Plage se trouve dans Canet-en-Roussillon
Un très beau endroit..
dans les années 1950/60
Vers les années 1950...pas encore "du béton...de partout"
canet-en-Roussillon est une commune française dans le département des Pyrénées-Orientales et la région Languedoc-Roussillon..
Vers les années 1970...
Canet-en-Roussillon est situé à l'est de Perpignan sur la côte méditerranéenne..
Actuellement..;
L'embouchure de la Têt,rivière prenant sa source en Cerdagne...se situe juste au nord de l'agglomération..
vers les années 1960/70
la vie est bordée au sud-ouest par l'étang de Canet-St-Nazaire (Sant-Nazan )
Actuellement...
Bonne soirée..
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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je me réserve
Toujours à Canet-Plage
Vers les années 1920.;
Vers les années 1920
Vers les années 1910
Vers les années 1910..
Claire :bisou: ...que des vieilles cartes...
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Mélo :bisou: ..."je me réserve" veut dire..pour mettre les cartes du reportage... si,je ne le fais pas..."tu es passé..juste derrière Moi"...je n'aurai pas pu mettre la suite... J'adore le chat...presque Amos..quel regard..
Claire :bisou: ...pluie ce soir et annoncée pour 2j... tu parles d'un début d'automne ...
ça fait un moment qu'on n'a vu Odette :bisou: ...
bonne nuit..
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 14/04/2005 Messages: 31 994
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:bisou: un simple bonjour claire et toute la file pour se 1er jour d'automne a bientôt
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonsoir à tous..
Mélo :bisou: ..j'aime ce genre de "pensée " que je mets.. en image...certaines sont si belles et véridiques.. Tout va bien pour Claire..
Claire :bisou: ...quel temps....
Peut-être un petit reportage..sinon demain..
Bonne soirée...
:bisou:
à +
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Inscrit le: 26/02/2006 Messages: 10 256
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Bonsoir à toutes et à tous,
Hier je suis rentrée trop tard. J'avais trop .
J'ai regardé tes beaux reportages avnt/après sur Canet -plage, tina. J'aime beaucoup une carte postale au bord de l'eau avec les chaises. Cela ressemble à une scène dans une île grecque.
Hélène, Merci pour le petit passage automnal.
Oui, cela fait longtemps qu'Odette n'est plus passée, mais elle avait prévenu.
Béa, J'ai déjà la nostalgie des châteaux-forts.
Annie, Lâche-prise pendant le week-end pour reprendre moins fatiguée la semaine prochaine.
Gégé, La jeune fille est vraiment jolie et très fraîche. Mélodie, Le chat et les bouteilles de lait ainsi que la dauseuse sont d'un réalisme saisissant.
Bon et :bisou: Claire
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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BONJOUR A TOUTES ET A TOUS.
POUTOUS :bisou: GERARD
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonjour..
Amélie-les-Bains-Palalda...cure thermale très réputée..
Mélo :bisou: ...repos total....fait-toi dorloter..
Amélie-les-Bains-Palalda...En Pays Catalan..aux portes de l'Espagne.....le goût du soleil.. épanouie le long du fleuve côtier le Tech entre Méditerranée et contrefort des Pyrénées, la vivante cité Amélie-les-Bains combine avec accent air pur et microclimat,douceur des températures et ciel lumineux...
la commune est localisée dans la vallée du Tech au coeur du Vallespir...
1000km de Paris...60km( par S.N.C.F ) de Perpignan
Bonne route Mélo...
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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Bonjour à tous
Une petite ballade....à Collioure...
Collioure..
Collioure est une commune française située au bord de la mer Méditerranée sur la côte Vermeille...à 20km de l'Espagne..
Collioure se situe dans le département des Pyrénées-Orientales et dans la région Languedoc-Roussillon...
La ville compte 3000 habitants...
Ville touristique du Roussillon située sur la Côte Vermeille,Collioure a pour communes limitrophes : Argelès-sur-Mer..Barnyuls-sur-Mer et Port-Vendres,ancien village de pêcheurs renommé pour ses anchois...
Au siècle dernier...
Collioure est également prisée des artistes peintres (André Derain... Georges Braque...Henri Matisse..)qui se plaisent à immortaliser son château royal,ses ruelles,et son église pittoresque accolée à un clocher bâti sur une ancienne tour de guet médiévale..
amateurs de peinture...vers les années 1960/70
Un air de vacances..
les ruines du château...
Le clocher...
Collioure est un port de pêche et une station balnéaire...
De belles barques catalanes...
Bonne matinée..
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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On continue....la ballade...
Séchage de filets en oct 1901..
Dans les années 1930/40...
Dans les années 1930/40..les filets de pêche..
Entre mer et montagne...
Face à l'église et son clocher...début siècle dernier..
Une partie de pêche...au siècle dernier...
Promenade sur la plage..vers 1940???
Et encore...le clocher.....
et le célèbre train jaune/or...ici en 1910
Bonne Matinée..
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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dans le département des Pyrénées-Orientales il y a 3 fleuves côtiers connus...
1)-le Tech(Tec en catalan ) est un fleuve côtier du Roussillon dont le cours est de 84km30 s'inscrit dans le département des Pyrénées-Orientales..
Il présente la particularité de disposer du bassin versant le plus méridional de la France continentale...
Le tech prend sa source au Roc Colom(2507m ) dans les Pyrénées,dont le massif du Castabonne..
Il traverse 25 communes (dont Emilie-les-Bains-Palalda ) et 6 cantons ..
il se jette dans la mer Méditerranée au niveau de la réserve naturelle du Mas Larrieu encore appelée "le bocal du Tech" au nord de la commune d'Argelès-sur-Mer...
Le Tech à Céret...
2)-le Têt ( Tet en catalan ) est un fleuve côtier des Pyrénées-Orientales de 120km..la vallée de la têt est classée pays d'art et d'histoire...
La têt prend sa source au pied du pic Carlit sur la commune d'Angoustrine-villeneuve-des-Escaldes..
Traverse d'Ouest en Est le département des Pyrénées-Orientales..d'abord le Confluent,puis le Roussillon et se jette dans la mer Méditerranée
Son cours est barré près de sa source aux Bouillouses(barrage hydro-électrique ) et à Vança (barrage-réservoir )
11 principales villes traversées...
Le train jaune au dessus de la Têt...
Le pont suspendu et le train jaune...
3)-l'Agly (Agli en catalan ) est un fleuve côtier du sud de la France qui coule en Roussillon dans la région Languedoc-Roussillon et des départements des Pyrénées-Orientales et de L'Aude et se jette dans la mer Méditerranée...
Son ancien nom" Surdus" au Vè siècle ce qui signifiait "soudre..source"..et celui actuel vient de "Aquilinus" en 1162 sans doute de "Aquile" ..aigle divinité éponyme ou de "Aqua" eau
Son cours est de 82km...l'Agly prend sa source au col de Linas près du Pech de Bugarach dans les Corbières...dans le département de l'Aude..
Il passe ensuite dans les Pyrénées-Orientales par les gorges de Galamus et se jette dans la mer Méditerranée au sud de la station balnéaire de Barcarès...
l'Agly...au loin le mont du Canigou...
Voilà Gégé :bisou: ..les 3 fleuves mentionnés...
Bonne matinée..
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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COUCOU TINA :bisou:
DANS LES P.O IL Y A TROIS FLEUVES : LE TECH, LA TET, ET L'AGLY.
LE TECH, DANS LES ALBERES
LA TET, DANS LA PLAINE DU ROUSSILLON
L'AGLY, DANS LES CORBIERES
GERARD
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Inscrit le: 29/07/2010 Messages: 4 007
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bonjour à toutes et tous
il me semble que Odette prenait quelques jours de vacances mais je ne sais pas où?
journée épuisante hier, on marche, on marche, mais on a vu de belles bêtes, il y avait quelques kilos de steaks sur pattes, pas trop de chevaux dommage!, nous aimons les chevaux lourds
Tina et Gégé
bon dimanche à tous et toutes
à demain pour la dernière session sur la cité de Carcassonne
poutous
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Inscrit le: 28/10/2010 Messages: 22 849
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OUI! Gégé :bisou: ...corrigé "fleuve..pas rivière".. je connais "Amélie-les-Bains-Palalda..."
les fleuves,je connais..pas mentionnés .. pour "Collioure"..mais pour "le Roussillon"..
bon..on rajoute....
bonne matinée...
:bisou:
à +
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Inscrit le: 28/06/2011 Messages: 7 991
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OK TINA :bisou: JE CONNAIS BIEN AMELIE, MON PERE Y ETAIT DANS UNE MAISON MEDICALE QUE L'ON VOIT SUR LA PHOTO J'Y VAIS EGALEMENT CHERCHER DES CHAMPIGNONS
GERARD
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